Un retour chamboulant

Tout ça commençait à bien faire. Dai observer les deux hommes et les deux yeux rouges qui l'observaient également assis plus haut dans un arbre. Inutile de savoir que sa dague ne lui serait d'aucune utilité et il n'arrivait plus à répéter le même phénomène électrique qu'avec Amarok. Ces hommes n'étaient pas des enfants de cœur et cette fois plus que de sauver sa peau, il y avait Suraya. Au fond de lui, Dai sentait qu'il voulait l'empêcher de souffrir comme elle l'avait déjà fait. Voilà il en savait trop sur elle et maintenant il s'impliquer sans réfléchir.

Dai : " Vous devez vraiment vous faire chier pour insister autant. "

Les deux hommes ne lui faisaient pas plus peur que ça, même si il s'entait qu'il n'était pas de taille, mais Saya cacher dans l'ombre ne lui inspirer rien qui vaille. Il y avait bien une chute d'eau derrière eux. Mais même si ils parvenaient à courir jusque là et à s'y jeter, Suraya se transformant pour leur éviter une chute, ils resteraient encore trop prêt d'eux pour être en sécurité. Encore fallait il être sûr de réussir à atteindre la chute d'eau. Le neko se sentait coincé, pas même capable de courir mais il n'était pas seul. Il regarda Suraya en attrapant la dague.

Dai : " Je ne fait pas de promesse que je ne peut pas tenir, mais on ne repart pas avec ces deux là. "

Suraya se retourna vers lui avec un léger sourire, elle savais ce qui allais ce passer, et elle souhaitai l'éviter.

Suraya:-Effectivement, on ne repartir pas avec eux. Toi c'est sur.

La, elle le poussa assez fort pour qu'il tombe dans la chute d'eau et qu'il fuis. Elle savais qu'il s'en sortirai malgré tout. Il était fort.

Alors qu'il tombais, il eut tout juste le temps de voir, l'un des hommes se ruer sur la démone alors que le second courut pour attraper Daisuke, mais trop tard.

La jeune femme n'avais pas lacher Daisuke du regard et lui sourit jusqu'à ce qu'il disparaisse.
Myabi tenais fermement Suraya et lui susurra à l'oreille:-Je jouerai gentillement avec toi...et on te le ramènera. Ne t'inquiète pas. Ce que tu viens de faire est inutile.

Suraya:-je ferai tout pour le sauver.

Myabi:-Tu es trop sentimentale.

Suraya:-Et toi, trop en chien.

Finalement, les deux hommes kidnappèrent la jeune femme alors que Saya semblais de plus en plus énerver par tout sa.

Saya était assise à même le sol du jardin d'une petite maison à nouer des pâquerettes les unes aux autres. Materné par une femme qui fut pendant le temps d'un mois une mère d'accueil pour elle. Très jeune enfant encore Saya ne s'imaginer pas que son handicap allait être une cause de rejet fréquente et ceux de nombreuses fois, par de nombreuses famille. Dai enfouissait ses propres affaires dans un sac poubelle, le regard dur et sans regret d'un enfant de neuf ans. L'homme à ses côtés lui avait pourtant répéter mainte fois qu'il serait mieux à rester ici et que Saya serait prise en charge par quelqu'un de plus riche, par l'hôpital, de nombreuses excuses pour exprimer la façon dont il ne pouvait accepter de s'occuper des soins couteux dont elle avait besoin. Dai n'avait que répéter en boucle, sans sentiments et à de nombreuses familles qui lui faisait le même speech qu'il serait le seul à ne jamais l'abandonner. Il vit le même souvenir avec de nombreuses familles différentes, eux même plus âgé, jusqu'à un couvent qui leur tourna le dos à leur tour. Puis se fut sombre. Les mains tâché de sang, le sang de Saya morte à ses pieds...

Dai se réveilla dans un sursaut en toussotant, rassurer d'avoir était réveiller par la fraicheur de l'eau. Il était en bas de la cascade, trempant encore dans le liquide glacé de la nuit et accrocher à un rocher. Au moins même inconscient il avait eut le bon réflexe de ne pas couler. Même là il n'avait pas eut l'occasion de mourir. Il se traina sur le sol en posant une main sur sa tête. Légèrement oranger, il en déduit qu'il avait dû perdre connaissance après s'être cogner la tête. Le neko leva les yeux vers la lune, il faisait déjà nuit noire. Depuis combien de temps Suraya avait été emmener? Qu'elle imbécile, maintenant il ne pouvait plus que penser à lui.


De son côté Suraya était enfermer dans le noir le plus total sans vraiment savoir où elle se trouvait. Elle ne pouvait qu'entendre Boyen et Miyabi pestait derrière la porte et entre apercevoir l'ombre sombre de Saya juste devant.

Saya : " Allez vous trouvez quelqu'un d'autre, je ne vous la laisse pas. "

Miyabi : " Ces quoi ce caprice? Allez, donne nous cette clef que tu planque et laisse nous faire. "

Saya : " Et Dai HEIN? Je veux le voir au bout d'une pic! A cause de vous il a encore put fuir. "

Boyen : " C'est elle qui lui à permis de le faire, pas nous alors..."

Saya soupira : " C'est parce que vous êtes intervenu que je n'ai pas eu l'occasion de l'avoir. Tout le temps qu'il ne sera pas ici, elle restera enfermer à point c'est tout. Vous n'avez qu'à me le ramener puisque vous êtes si presser. Vivant. Il est pour moi. "


Le neko éternua un grand coup lorsqu'il arriva prêt de la voie ferré.

Dai : " On doit parler de moi..."

Il devait rejoindre Suraya. Nul doute qu'elle était chez les hunters mais ce lieux était aussi grand qu'une ville. Mais comment allait il faire? Il ne servirait à rien si il faisait attraper avant de la trouver. De plus il devait éviter Saya, ainsi que tout combat contre elle. L'idée d'avoir à se défendre contre elle ou pire, d'avoir à la tuer le hanter plus que sa propre survie. Il s'arrêta net en voyant les cabines de haute voltage des voies ferrer. " Danger", "Haute voltage", "Ne pas toucher". Et si...
Il n'était pas mort lorsque la foudre de Amarok lui était tomber dessus. Il en était même devenu plus fort. Ce haut voltage ne pourrait il pas être sa meilleure arme pour sortir Suraya? Si il se tromper il était mort. Mais si l'électricité ne l'aider pas il était quand même. Il ouvrit le compteur et regarda à l'intérieur. Mourir de part autant de courant...ça devait être douloureux. Il secoua la tête et ferma les yeux une seconde avant de plaquer sa main à l'intérieur du compteur et d'arracher la plupart des fil. Il ne ressenti que des picotements alors que le courant le traverser. Très vite, il vit les éclaires rejoindre les rails et les soulever, créant une sorte de séisme sur la voie ferrer. Et ceux jusqu'à ce qu'il ne sente plus de courant dans son corps. Dai n'en revenait pas. Les rails étaient sans dessus dessous, le sol brûlait et encore électrifié et lui n'avait pas la moindre brulure. Alors il pouvait manier le courant comme Maïa le faisait avec le feu? Mais sans s'en "nourrir" quelque part il ne pouvait rien faire.

Dai : " Le labo est remplis de compteur. Les cellules aussi. L'électricité ne manque pas..."

Il apprendrait à s'en servir sur le tas. De toute manière il n'avait pas le temps d'apprendre, Suraya avait besoin d'aide. Fou comme il se disait l'être, il se rendit dans la direction du labo des hunters, avec la grande espérance que " l'éventreur" allez laisser place là bas à un "monsieur fantastique".

Myabi crisa:-Je ne sait pas ce qui me retiens de te faire bouffer tes tripes!

Saya:-Tu veux que je te le rappelle?

Myabi:- Va chier! Je vais le chercher ce môme!

Il la bouscula et parti,suivis de Boyen qui se préféra silencieux.

Suraya avais put tout entendre de la conversation. Elle espérai qu'ils n'allaient pas le trouver mais elle connaissais aussi bien l'un que l'autre et savais qu'il avais peut de chance de s'en sortir mais au moins, elle lui avais laisser un peu de temps.

Elle soupira et tenta de bouger, mais une douleur la pris au poignet et son corps était plus que engourdit. Elle leva les yeux au niveau de sa douleur et constata les faits. Deux piques étaient planter dans ses poignets juste en dessous des ces menottes. Elle compris de suite. Un poison paralysant devais être dissous dans son corps via ces piques.

Elle en avais marre de tout ceci. Elle devais vraiment faire quelque chose. Et la seule option qui lui vint fut de partir loin de tout et de tout abandonner. Vivre en total anonymat et refaire sa vie en étant elle même. C'est décidé, elle ferai tout pour fuir et reprendre une vie, loin, très loin.

Dai pensait à la même chose que Suraya alors qu'il se rapprocher d'elle et des problèmes. Il devait arrêter d'hésiter et fuir le plus loin possible. A la Cité des Ruines pour avoir la paie avec tout ceci. De toute manière ici il n'avait plus aucun avenir. Considéré comme l'éventreur il serait toujours reconnus comme un vampire et un assassin. Les hunters ne le lâcherait pas tout le temps qu'il ne céderait pas à la mort. Quand à Saya c'était mourir ou la voir mourir. Il ne pouvait plus rester ici. Il eut une vaste pensée pour Maïa lorsqu'il se rappela où il l'avait déposé. Tout irait bien pour elle, il ne pouvait pas faire mieux.

Si il s'en sortait vivant et seulement si il s'en sortait, il arrêterait peut être de s'occuper des autres et prendrait enfin le temps de s'occuper de lui même. Les temps où il gagnait de l'argent en se rendant dans des clubs danser en battle lui semblait loin. Il l'avait toujours fait pour l'argent, mais c'était l'un des seuls moyen légal qu'il avait trouver et qui était pour lui un plaisir. Dommage que se soit trop souvent terminé en buverie ou baston.

Il se tapis silencieusement derrière un arbre lorsqu'il entendit et reconnus des voies masculines. Il ne pouvait que les reconnaître. Miyabi pestait comme un taré en choutant avec toute la discrétion du monde dans les cailloux. Boyen avait l'air plus réserver, mais nul doute qu'il hurler intérieurement. Enfin une bonne nouvelle, si eux étaient là, Suraya n'était pas avec eux. C'était peu mais Dai s'en contenta pour s'en rassurer. Il pourrait facilement passer inaperçu et continuer sa route pour un retour surprise chez les hunters ou bien décidé de se faire embarquer pour un aller plus rapide.

Préférant éviter de se faire frapper dessus, le neko opta pour la discrétion et continua sa route à pas de chat. Si il pouvait retrouver Suraya avant de se faire attraper ça l'arrangerais bien.

Suraya devais attirer l'attention sur elle pour pouvoir fuir, elle devais jouer avec ses sentiments. La jeune femme commença alors à tenter de ce détaché, en vain, le corps trop engourdit et endormie, elle parvenais à peine à bouger. Elle soupira profondément et finis par appelé.

Suraya:-Eh oh! Y'a quelqu'un! Bordel! Laisser moi partir!

Mais pas un bruit. Sa ne marcherai pas non plus. Que pouvais t'elle faire? Il y avais peut-être qu'une seule solution.

Elle ferma les yeux et se concentra sur sa force. Si elle parvenais à en concentrer assez, peut-être qu'elle parviendrai à briser ses chaines ou à se défaire de ce poison. Elle commença alors, respirant calmement, cherchant à canaliser toute sa puissance dans ses poignets, la ou les piques de poison la traversais.

La porte de la cellule de Suraya s'ouvrit alors sur Amarok, qui entra avec tout le calme du monde. Ayant assisté à la fameuse scène où elle avait poussé Daisuke du haut de la cascade, il avait suivi le corps de Daisuke, et l'avait remonté sur un rocher après avoir repris forme humaine. Puis, il avait suivi Suraya et ses deux bourreaux, jusqu'à l'endroit où ils l'avaient enfermée.

- Vu que t'es toujours celle qui finit kidnappée, tu dois sûrement pas être si forte que ça.

Il s'avança en voyant qu'elle avait les yeux fermés, lui retirant sans douceur les aiguilles du poignet. Les menottes gelèrent autour de son bras, les faisant craquer, et il les retira sans difficulté. Il se baissa, l'agrippa à la taille et la hissa sur son épaule, avant de faire demi tour, et de s'aventurer dans les couloirs infestés de sous-fifres de Myabi. Il se fraya son chemin en les balayant d'un coup de vent, parfois obligé de leur faire un peu plus mal, quand ils s'approchaient de trop. Il ne tarda pas à sortir, avisa du regard les alentours, s'aventurant de nouveau dans la forêt. Il lâcha brusquement Suraya au sol, l'avisant de toute sa hauteur.

- Arrête avec tes sacrifices. Si t'as tellement envie de mourir, suicide toi. Comment tu crois que Daisuke s'est senti quand il a pensé que tu allais mourir pour l'avoir sauvé ? Tu penses que te tuer pour qu'il vive c'est l'aider ? T'es débile ?

Amarok serra les dents pour reprendre son calme.

- Si tu veux vraiment l'aider, alors reste en vie. Une fois que tu seras morte, y'aura personne pour prendre ta place.

Suraya:-Comme si j'allais mourir. Tu rève toi. Ils ne veulent pas ma mort. Et puis au finale, de quoi tu te mèle? Tu as voulut te jouer de moi et de Sura juste pour pouvoir t'en prendre à Maia. Alors franchement, d'ou j'ai à recevoir des conseils de toi?

Elle se releva, chancelante, le corps encore engourdie.

Suraya:-Laisse tomber...de toute manière je vais disparaitre complètement et m'éloigner de tout le monde.

Amarok tiqua. Il venait de l'aider et elle le traitait comme un vulgaire chien. Il s'approcha d'elle, un sourire aux lèvres, levant doucement sa main droite.

- Tu veux disparaître ? Je peux t'aider.

Il agrippa fermement son cou et la poussa jusqu'à l'arbre le plus proche, les doigts crispés sur ses cervicales. Il perdit brusquement son sourire. Son visage était crispé par la colère, les sourcils froncés, le bras tremblant. Ses yeux se voilaient d'un brouillard opaque et sa respiration se fit aussi glacée d'une brise en hiver.

- Tu ne sais rien. Ni ce que j'ai vécu avant de rencontrer Maïa, ni ce que j'ai dû subir après. Celle qui rêve, c'est toi.

Rapidement, il se calma, et son expression hargneuse laissa place à un air mesquin.

- Oui, je me suis joué de toi, de Sura, de Maïa, de tout le monde. Et c'était marrant, franchement.

Alors, reprenant un visage étrangement sincère, il lui lâcha le cou.

- Mais réfléchis. Si j'avais vraiment voulu me débarrasser de Sura.. je l'aurais fait quand j'en ai été imprégné. Je m'en serai occupé comme n'importe quelle fille, je me serai pas gêné. Et si tu veux savoir la raison pour laquelle je n'ai pas eu envie de la tuer... c'est parce qu'elle est comme moi.

Le neko arriva sans trop de problème chez les hunters. Il allait continuer dans la discrétion pendant un petit moment. N'étant pas sûr du phénomène électrique qu'il pouvait produire, il préférer n'y avoir recourt qu'en cas d'urgence. Ce faufiler à l'intérieur était devenu facile. Après plus d'un an à observer il connaissait l'emplacement des caméras par cœur et savait comment les éviter. En revanche il n'avait aucune idée d'où retrouver Suraya. Pour ça, il se contenta de penser aux caméras. Quelqu'un devait sûrement les surveiller puisqu'elles étaient là.

Evitant les hunters et tous ce qui aurait put le faire repérer, Dai se rendit jusqu'à la vigie où un homme d'un certain âge somnolaient devant plusieurs écran, un cigare puant en bouche. Pris par surprise, le hunter se retrouva assez rapidement avec une dague en plein milieu de la gorge. Ces gens là ne devaient pas être pris en pitié, une seconde d'hésitation pourrait couter bien trop chers. Le neko referma la porte derrière lui, cacha le corps dans une armoire après l'avoir fouiller et récupérer une matraque et se posta devant les écrans. Il y en avait bien une centaine classer par étage.

Dai : " C'est vraiment immense... "

Chaque salle, chaque couloir étaient surveiller. Il en était de même pour les cellules, les labos, l'arène même les toilettes. Que c'était désagréable de penser que l'on était épier même dans son intimité. Son regard parcourus tout les écrans plusieurs fois sans qu'il n'y trouve jamais Suraya. Saya n'était pas là non plus d'ailleurs...Seule une pièce attira son attention. Une sorte de chambre froide où plusieurs "cercueils" en métal étaient entre poser. Il y avait des personnes à l'intérieur. Sûrement devaient elles servir aux expériences. Ou bien ils étaient morts et les corps étaient garder au frais. Ou était ce une sorte d'hibernation forcer? Suraya s'y trouver peut être. De toute façon vu les écrans il n'avait nul par ailleurs où chercher et la salle n'avait pas l'air surveiller. Dai pris soin de mettre tous les écrans en pause pour éviter d'être aperçu sur les images. Ainsi, même si quelqu'un rentrait en vigie, personne ne verrais de changement sur les écrans. La dague à la ceinture et la matraque en main le neko parti vers la chambre froide.

La porte blindé qui fermer le lieux ne lui posa pas plus de problème, il n'eut qu'à court-circuité le mécanisme. Lui qui n'aimait pas le froid se senti vite mal à l'aise dans cet endroit gelé et où l'odeur de médicament et de formol était abondant.

Evite de trainer je voudrais pas rester enfermer ici.

Il fouilla chaque cercueil, n'y trouvant jamais celle qu'il chercher. Les personnes semblaient bien vivante vu le moniteur cardiaque qui était incorporer sur chaque machine, mais elles avaient l'air prisonnière d'un long sommeil. Il reconnaissait parmi elles les survivants de l'arène qu'il avait vu perdre au combat. Chacune d'elle posséder un bac où étaient ranger vêtement et affaire personnelle. Il n'y avait pas que la salle qui faisait froid dans le dos. Dai ne s'imaginer pas conserver de cette façon dans un frigo, c'était quelque chose d'inhumain. Comment seraient ces personnes si elles venaient à se réveiller maintenant? Depuis combien de temps dormaient elles? Des années surement vu les effets personnel ancien de certain.

Il alla jusqu'au moniteur central où il ne compris absolument rien de tout ce qui était affiché sur les écrans d'ordinateur. Une liste de nom bien trop longue pour la lire s'afficher sur l'écran que Dai ne parcouru qu'à peine. Mais juste assez...il pointa son doigt sur le nom qui l'intéresser.

Dai : " Saya...Hachi..."

Le numéro de caisson afficher l'intrigua plus que le nom sur l'écran. Le neko pressa un bouton et le cercueil concerner roula sur des rails provenant d'une chambre froide venant de la pièce d'à côté. Dai se rendit jusqu'à la machine et regarda les effets personnel rapidement. Des vêtements qu'il reconnaissaient et un carnet qu'il connaissait également mais qui n'appartenait pas à Saya. Il prit le calepin de cuir, le retourna vaguement surpris de le revoir et le glissa dans sa veste. Le neko frotta de sa manche la vitre encrasser de brume gelée jusqu'à avoir vu sur le contenu du caisson. Dai resta au dessus longtemps surpris. Saya y dormait. Mais et la Saya qui essayer de le tuer alors? Ce carnet qu'il retrouver dans ses effets? Et elle? Etait ce la vrai Saya? Comment il pouvait la faire sortir? Il voulait au fond de lui défoncer le caisson et la sortir de force, mais il avait bien trop peur de tuer ce qui se trouver à l'intérieur avec une mauvaise manipulation. Lui qui était revenu chercher Suraya avait trouver autre chose. Quelque chose qui allait certainement l'empêcher de fuir comme il l'avait espérer.

Alors que Amarock avais agripper son cou et serrer brutalement, la jeune démone n'avais pas réagit, même pas sourciller.

Finissant de parler et de la lacher, elle se frotta doucement le cou et soupira:-Tu peux parler, mais toi non plus tu ne sait pas ce que j'ai vécu et qui me pousse à agir ainsi. En attendant, Sura est toujours empreinte de toi. Elle t'aime vraiment et sait le seule sentiment qu'elle ressent, autre que de la colère. Vous vous ressemblez? Surement. Alors dans ce cas, pourquoi tu te comporte ainsi?

Mais alors qu'elle attendait la réponse de Amarock, elle ressenti un grand stresse et une forte agitation venant de son lieux de fuite.

Suraya:-Ils ont du se rendre compte de quelque chose ou sinon...Amarock, pourquoi est-tu venu me sauver?

Dai avait filer par les jardins. On l'avait repérer. Il avait laisser Saya là où elle se trouvait et n'avait emporter avec lui que le petit carnet qu'il avait reconnu. Il ne pouvait rien faire maintenant pour Saya. Si elle était bien sa sœur, chercher à l'aider maintenant, montrer aux autres, à ses ennemis qu'il savait qu'elle était endormi là bas aurait été la mettre en danger. Pour le moment, il préférer faire semblant d'ignorer la chambre froide et de considérer celle qui le traquer comme sa sœur.

Il fuyait de nouveau sans même avoir retrouver Suraya. Alors qu'il était venu la chercher. Sans même chercher à comprendre comment aider la personne endormis dans la chambre. Non il n'allait pas partir facilement. Il devait chercher un moyen pour se battre. Vu le nombre de hunter qui sortaient de droite à gauche, sa dague et sa chance ne lui suffirait pas.

Inconscient du danger peut être, il grimpa en haut d'un transfo électrique, ces grandes tour qui alimentaient en électricité la totalité de l'endroit. En voyant les hunters s'amasser en bas il n'hésita pas et attrapa les câbles électrique. Là il se surpris à ressentir la douleur. L'onde traversa la tour, s'infiltra dans le sol, le fit trembler, puis exploser. Déchiquetant, électrifiant chaque personne en contact avec le sol dans les alentours. Dai ne put tenir très longtemps. Il lâcha prise lorsqu'il perdit connaissance.

Amarock n'eut pas le temps de répondre lorsque l'explosion ce produisit. La jeune femme se retourna et s'envola directement en disant juste à Amarock:-Merci, Amarock.

Partant à tire d'aile et se faisant violence, elle arriva rapidement sur les lieux constatas. Pourquoi Daisuke était la? Elle vit au loin les deux monstres arriver en trombe.Elle attrapa le jeune homme évanouie, mais immédiatement elle le relacha surprise.

Il était remplie d'éléctricité statique. Elle soupira, le pris à nouveau en ignorant les picotements et tenta de s'envoler aussi vite que possible.

Sa gorge lui brûlait au point qu'il crut pouvoir cracher des flammes. Il devait boire de l'eau, faire en sorte que sa langue ne ressemble plus à un désert aride. Il cligna plusieurs fois des yeux avant que le brouillard qui s'y trouvait se dissipe. Qu'est ce qui s'était passé? Il était parti rechercher Suraya chez les hunters, avait fuit après s'être fait repérer et avait cru être immuniser contre l'électricité...Certaine chose échapper encore à sa mémoire. Le choc du courant lui avait fait plus mal qu'il ne l'avait cru, pourquoi déjà avait il essayer de jouer avec les câbles? Ah oui, les éclaires d'Amarock, son test sur le chemin de fer, tout lui avait prouver qu'il pouvait gérer l'électricité. Et bien il avait dû se tromper et ça aurait put lui coutait cher. Il se redressa en posant la paume de sa main sur son front et en grimaçant. Il s'était fait attraper?
Il était dans une partie de la forêt, trop sombre pour ne pas être abritait par des roches et trop humide pour être loin de l'eau.

Il vit Suraya à quelques mètres, observer aux a guais les alentours en direction du bruit causer par des hommes. Il rit jaune, comprenant que ce n'était pas lui qui l'avait sauver mais elle. Un léger rire qui la fit se retourner. Oui il était réveiller et peut être un peu disjoncter sur les bords. Il ne se rappeler pas de tout, mais il se rappeler au moins qu'il était venu pour la sauver. Parce qu'elle s'était sacrifier et qu'elle l'avait sauver une première fois. Au final elle s'était sauver toute seule et était encore venue le sauver. C'était vexant.

Suraya: " Réveiller? Evite de faire trop de bruit ils ne sont pas loin. "

Le neko soupira en claquant la langue, sa bouche était sèche.

Dai: " Alors toi...si tu n'était pas une femme je crois, pour être honnête que je t'en aurait mis une. "

Suraya : " Pourquoi?! "

Dai : " Qu'est ce qui t'a pris de me jeter de la cascade? J'aurais put crever. Je suis incapable de protéger quelqu'un d'accord mais la je me sens comme une sous merde qui c'est caché derrière une femme. "  

Suraya : " Je rêve t'es en colère. "

Le jeune homme bougonna. C'était le mot qui expliquer qu'il n'accepter pas d'avoir était protéger par une femme, mais avoir ressenti la décharge qui au final s'était retourner contre lui et sa mémoire ne le mettait pas spécialement de bonne humeur non plus. Il força sur ses jambes pour se révéler, tituba de droite à gauche et retrouva un semblant d'équilibre. Il sentait encore l'électricité statique dans ses cheveux mais elle disparaissait rapidement.

Dai : " J'en ai marre de cette situation, j'en peut plus ça dur depuis trop longtemps. Mais je ne veux pas me protéger au péril de quelqu'un d'autre. Tu serais pas un peu maso franchement? Si tu avait sauter avec moi on avait peut être une chance de s'en sortir. Te mettre en danger pour moi c'était débile. "

Suraya:-Si j'avais sautée avec toi, on se serai fait avoir de toute manière, j'ai permis de les ralentir.

Daisuke:-Tu n'arrète pas de me protéger!

Suraya:-Ne t'inquiète pas, sa sera bientôt finis. J'ai décidée de disparaitre. La solitude sera mieux pour moi. Et puis merde, arrète avec tes conneries de machisme! Je suis une femme oui, mais je suis un démon, sa fait toute la différence!

Elle se rapprocha de lui et finis par lui dire:-Si je fait sa, si je me met en danger sait parce que je ne supporte pas qu'une personne qui compte pour moi le soi. Mais la, tu vois, sait moi qui vais avoir besoin de toi...rattrape moi.

La jeune femme commença à tomber, se sentant mal.

Il eut à peine le temps d'assimiler ces dernières paroles qu'elle vacilla et qu'il l'a rattrapa par pure réflexe. Ne se sentant pas vraiment de taille à supporter le poids d'une autre en plus du siens, il se laissa doucement glisser contre un arbre, vers le sol, tout en gardant Suraya contre lui. Il la secoua plusieurs fois, lui demandant de se réveiller. C'était bien le lieux et le moment pour avoir ce genre de malaise. Dai s'attendait à voir débarquer Miyabi, Boyen, Saya ou encore d'autre hunter d'une minute à l'autre.

Dai : " Protéger ceux qui compte pour toi hein...tu me connais à peine... "

N'était ce pas plutôt dans sa nature de ne pas pouvoir s'empêcher de s'occuper des autres? Le neko soupira, au final il lui faisait des remontrances mais n'était pas beaucoup différent d'elle. Il pourrait allez la déposer au même endroit que Maïa pour être certain qu'elle soit en sécurité et qu'elles soient réunis. C'est ce qu'il allait faire. Prendre juste le temps de récupérer un peu, attendre que les hunters s'éloigne et il serait parti la déposer. Qu'allait il faire après? Continuer de fuir Saya et retrouver l'entrée de la Cité? Il avait la folle envie de retourner une fois de plus chez les hunters. Pourquoi? Il n'en savait rien, il devait être fou de penser une chose pareil.

Il déposa Suraya prêt d'un arbre, assez proche pour continuer à avoir un œil dessus et alla s'hydrater au petit fleuve. Il ne pouvait pas rester ici trop longtemps. Dai prit la jeune femme sur son dos et commença à s'éloigner, partant en direction de la petite maison où il avait déposer Maïa plutôt.

Après 10 minutes, la jeune femme ouvrit les yeux. Son regard était embrumée. Elle avais eut un instant de faiblesse. Elle finis par se manifester:-Pose moi, s'il te plais.

Mais il ne semblais pas de cette avis. Suraya soupira et finis par tellement bouger qu'il n'eut pas le choix. Elle se posa contre un arbre.

Suraya:-Tu m'emmenais ou comme sa? On est traquer?

Daisuke:-En sécurité.

Suraya pouffa légèrement-Sécurité? Sait un mot qui n'existe pas, tu le sait très bien. En tout cas merci....mai il est temps que l'on se sépare.

Daisuke:-Que l'on se sépare?

Suraya:-Oui, je vais partir dans mon coin et tenter de redevenir anonyme. Personne ne me connaitra et ne me reconnaitra.Ni moi, ni mon passé, ni ma véritable nature. Je reprend ma vie de vagabond solitaire. J'ai l'impression d'attirée des ennuis à toute personne me cotoyant. Donc, il est temps que je parte.

Elle s'approcha à nouveau du jeune homme et vint l'embrasser tendrement le surprenant.

Puis, après quelque instant elle le lacha, le regarda tendrement dans les yeux et s'exprima:-C'est dommage, dans d'autre circonstance, j'aurai peut-être tenter ma chance.

Puis, elle fit demi tours et commença à partir, ses longs cheveux se baladant avec douceur dans son dos.

Dai la regarda partir pendant de longues minutes sans penser à la retenir. Lui aussi devrait peut être opter pour une vie de solitude. C'était ironique de penser à une tel chose, alors qu'il avait transformer Saya par peur de se retrouver seul. Il se laissa glisser contre l'arbre auquel Suraya s'était appuyer plus tôt et posa sa tête dans ses bras dans un long soupir. Il avait passer un an enfermer dans cette galère. Aujourd'hui il ne pouvait plus ni espérer vivre à Terra Nova où il était considérer comme le meurtrier qu'il n'était pas, ni continuer à vivre cacher ainsi, tôt ou tard il retournerait chez les hunters jusqu'à ce faire tuer. Fuir à la Cité des Ruines comme il l'avait prévu était la seule solution qu'il lui rester. Mais combien de temps allait il tenir dans ces conditions? Un monde plus dangereux que celui dans lequel il vivait et une vie de solitude.

Au fond, Dai n'avait jamais voulu être seul. Malgré la présence de Saya, il s'était toujours senti esseulé. Tout reposer toujours sur ses épaules et il avait l'impression d'avoir connu la solitude malgré la présence de sa sœur. Personne à qui se confier, personne sur qui compter, une vie qui n'avait pas de sens. Il y avait toujours cette force étrange qui le pousser à vouloir retourner dans la gueule du loup mais le neko n'y trouva pas la raison qui le convint d'y retourner. Il s'avoua perdu, sans savoir quoi faire. Il ne savait même plus si il avait envie de rejoindre la Cité des Ruines.

Il soupira une nouvelle fois et se leva rapidement. Commença à courir dans la direction où s'était éloigner Suraya. Il enjamba les branches, évita les feuilles et aperçut Suraya au loin. Il évita de réfléchir et hurla son prénom juste avant qu'elle ne se retourne. Dai s'arrêta devant elle en lui attrapant les mains, chose qu'il remarqua par la suite mais qu'il ne changea pas.

Dai : " Tente ta chance Suraya."

Elle le regarda avec des yeux ronds. C'était sorti tout seul, aussi spontanément qu'un enfant qui réclamait quelque chose.

Dai : " Non non attend je recommence. Tu est comme moi. Tu pense qu'être seul est la meilleure chose que tu puisse faire pour les autres mais au final ce n'est pas quelque chose que tu veux. Tu aime être entourer de personne, d'ami, de famille ou je ne sais qui d'autre. Mais tu t'enferme dans ta solitude pour leur éviter tes problèmes et tu t'occupe de tes soucis de façon autonome. Tu fait la même chose avec les problèmes des autres mais au final, les leur plus les tiens, tout ça, ça pèse. Je sais tout ça, je sais comment tu réagis. On est pareil. T'isoler ne changera rien. Tu ne changera pas de vie pour autant. Au contraire, tu ne sera jamais heureuse seule. Alors tente ta chance avec ce que je te propose. On oubli ce baiser plutôt agréable et tout le reste et on vi notre vie de vagabond à deux. Enfin en tant qu'ami hein. Qu'est ce que tu a à perdre à essayer de toute manière? "

Lorsqu'il s'arrêta de parler, il eut l'impression que ces paroles résonnaient en écho dans sa tête. En s'entendant il ne s'était pas trouver idiot, mais encore une fois il avait parler sans réfléchir. Des paroles qui sortait du cœur sans aucune réflexion. Il n'aurait pas était étonner que Suraya préfère continuer d'espérer pouvoir rester seule. Mais au final il avait besoin de se savoir utile pour quelqu'un.

Suraya soupira juste:-En ami hein? Tu sait que tu peux blessé les femmes avec ce genre de propos?

Daisuke:-Hein, mais...!

Suraya se mit à rire:-C'est adorable de ta part, mais avoue, sait aussi ta propre solitude que tu veux combler. On peux essayer, je n'ai jamais fait sa. Mais je te préviens, faudra se faire de l'argent, et pour ma part, le plus simple, sait d'être chasseur de tête,je t'assure que sa marche et tu te fait une réputation.

Puis un bruit se fit sentir, des bruissements. Suraya rit, pris le poignet du jeune homme (bien sur, il fallais rester en tout bien tout honneur) puis s'exclama:-Il est temps de fuir. Et ce, pour de bon. On lâche tout!

Il devait donc en conclure qu'il abandonner tout ce qu'il laisser ici? Saya en particulier? Quelque chose ne tourner pas rond, la décharge pris plus tôt lui faisait encore mal à la tête mais il devait se faire une raison. La Saya qu'il connaissait été morte et il ne tarderait pas à la rejoindre si il ne vivait pas sa vie pour lui seul. Dai attrapa le poignet de Suraya à son tour de sa main libre et commença à courir droit devant. Il fallait se rapprocher de la Cité. C'était le seul lieu où ils pouvaient penser à vivre une nouvelle vie. Il s'agissait sûrement de hunter à leur trousse et si eux étaient là Miyabi et Boyen ne tarderaient pas. Ces deux là étaient leur plus gros problème pour le moment.

Tout en courant, Dai ne put s'empêcher de repenser aux quelques paroles dites par Suraya avant de commencer leur fuite. Elle n'avait pas été contre son idée, son désir d'être seule n'était pas si grand. Elle avait compris aussi que lui aussi chercher à combler sa solitude, ça prouver qu'elle devait penser comme lui. Et puis...il rit moqueur tout en continuant à courir.

Dai : " "En tant qu'ami..." ça t'a vexer? Parce que si c'est le cas tu sais..."

Suraya : " Ne retourne pas ta veste. "

Dai : " Je ne me le permettrait pas chère madame. Des qu'ils nous auront lâcher, je pense à partir à la Cité. "

SUraya:-Dans ce cas, allons-y alors! Ne tardons pas!

Elle se transforma d'un coup, attrapa le jeune homme et s'envola avec ce dernier sous son bras. Ainsi ils seraient plus rapide. Du moins pour le moment.

Suraya:-Ne t'habitue pas à sa, je n'ai pas l'intention de te porter tout le temps.

Ils parcoururent de long kilomètre avant de ce poser non loin du portail. Elle était exténuée.

Suraya essouflée:-Rappel moi que je doit penser à me nourrir en arrivant.

Ils allaient maintenant devoir attendre le moment idéal, lorsque le portail allait s'ouvrir et qu'ils allaient pouvoir y entrer. Dai se sentait un peu angoisser à cette idée mais rester persuadé que c'était la meilleure chose à faire, du moins ça n'était pas la pire. On ne peut pas dire non plus qu'il avait réellement le choix, il n'avait plus le droit d'hésiter. Au moment où le portail s'ouvrirait il devrait le passer, coute que coute.

Il dissimuler son angoisse en espérant qu'ils aient le temps de voir le portail s'ouvrir. Si les hunters les rattraper avant, ils n'avaient plus aucune chance de rentrée à la Cité.

Dai : " Je vais prendre de la hauteur et surveiller les environs pendant que tu te repose. Si on nous retrouve maintenant c'est fichu. "

Mais au moment où il allait commencer à s'éloigner pour s'exécuter, le portail scintilla et chantonna un son étrange et peu désagréable. Il était ouvert. Trop beau pour être vrai le portail s'était ouvert quelques minutes après leur arriver. Le neko senti sa gorge se serrer. Non pas d'hésitation. C'était le moment. Il attrapa le poignet de Suraya et s'arrêta devant l'entrée de la Cité des Ruines, leur nouvel espoir.

Dai : " Tu va devoir attendre un peu avant de te reposer...prête? "

Suraya sourit:-Bien sur que je suis prête, ne me fait pas languir.

Les deux compagnons se jetèrent dans le portail permettant juste d'entendre la voix de Myabi hurler. Il venais de les voir sauter dans le portail.

Ils se retrouvèrent à flotter dans le vide, sans la moindre graviter. De la lumière et des couleurs ne cessaient de tourner, leurs donnant quelque peu la nausée. Puis, après quelque dixème de seconde, ils chutèrent lourdement, se retrouvant au centre d'une forêt. Le sol était très vert et très feuillue.

Suraya grimaça en se relevant:-La chute est difficile, mais on a eut chaud. Mon dieu.

Elle regarda autour d'elle, elle se sentit bien, terriblement bien. Elle regarda, encore et encore, autour d'elle, ses yeux pleins d'étoiles. Tout n'était que nature, mais elle sentai une odeur de ville. Mais pas comme les villes urbaines, non, comme celle de l'époque.

Suraya:-J'ai l'impression d'être rentrer chez moi...

Dai resta assis au sol immobile à observer son nouvel environnement. Il pensa à tout ce qu'il avait laisser derrière lui. A part Saya, il n'avait aucun regret. Il n'avait laisser qu'un passé sans rien d'exceptionnel et une multitude d'ennuis. Ce nouveau monde lui faisait peur. Il signifiait à la fois un nouveau départ et une nouvelle vie. Une nouvelle chance. Mais rien qui pourrait changer ce qu'il était. Trop de question se bousculer dans sa tête pour qu'il se rende réellement compte de la différence de cette endroit. Quel genre de vie l'attendait ici?

Il se releva enfin et se tourna autour la tête en l'air. Ils avaient chuter de haut mais avaient plutôt bien atterris et Dai commencer à se rendre compte de l'exception qu'était ce monde. Très différent de l'urbanisation qu'il connaissait. Ses habitudes ici aussi allaient devoir changer.

Suraya : " J'ai l'impression d'être rentrer chez moi... "

Elle avait l'air heureuse. Plus qu'elle ne l'était à Terra Nova. La voir ainsi des étoiles plein les yeux le rassura un peu. Lui n'était pas comme elle, il avait du mal à se projeter ici mais faisait l'effort considérable d'essayer et de se résigner. Il ne se rappeler pas l'avoir déjà vu si...rayonnante. Ceci fini par lui tirer un sourire, il hocha les épaules et commença à faire quelques pas devant lui.

Dai : " Et moi j'ai l'impression de redécouvrir le monde. "

Plus bas se trouver une sorte de grand marché incroyable. Pas le genre de marcher que Dai avait eut l'habitude de voir en plein centre ville. Un marcher où le bétail, les poules et leur œuf se mêlaient aux fruits et légumes, aux vêtements un peu moins moderne et à la technologie inexistante. Le neko renfonça son bonnet sur sa tête, préférant rester sur ses gardes et tandis sa main à Suraya.

Dai : " On visite? "

Suraya lui pris la main et sourit de plus belle:-Oui!

Ils commençèrent à s'enfoncer dans ce monde nouveau. Ils entrèrent dans le marché ou une énergie magique pouvais se faire sentir facilement, ou différent être de race différente se mellai au humain. Sur les stands, de magnifique fruit et de superbe objet divers et varié était à vendre, ainsi que des vètements.

Suraya tomba née à née avec un vètement qu'elle avais dans son ancien monde, un vètement qu'elle avais toujours aimé. Elle s'avança et regard l'habit avec envie.

C'était une longue veste en cuir fin, noir, arrivant au niveau des genoux. Elle le pris et l'essaya. Il lui allais parfaitement, cintrant sa taille.

Suraya s'exclama:-Je le veux!

La jeune femme se dirigeas vers le vendeur:-Combien il coûte?

Le vendeur:-150 pens.

Suraya:-On viens d'arriver dans ce monde et je n'ai pas encore la monnaie d'ici...

Le vendeur:-Pas d'argent, pas de manteau.

Suraya l'enleva et s'exclama:-Garder le moi de côté, bientôt j'aurai cet argent, je le veux.