Un retour chamboulant

Patouche. Ce chat si étrange qui avait choisit l'épaule de Dai depuis quelques jours apporter de plus en plus de question au jeune homme. D'abord le fait qu'il puisse parler l'avait choquer mais pas plus que ça. Puis il avait penser qu'il s'agissait peut être d'un Shinigami. Mais maintenant que ce vampire chercher ce chat, Dai n'avait plus aucun doute sur le fait qu'il soit plus spécial qu'il ne le croyait. Il attrapa le chat par la peau du coup et le tendis face à lui. L'observant pendant que Reiji s'apprêtait à tendre la main. Mais à la dernière minute Dai esquissa un sourire et déposa le petit chat dans sa capuche. Quand il voyait la taille que faisait le vampire comparer à lui, il se demandait si c'était une bonne idée.

Dai : " Désolé mais j'aime bien ce chat. Et il a pas l'air de vouloir partir. "

Reiji : " Il n'y a pas que lui qui est ridicule. "

Dai : " Entre chat on se comprend on va dire. "

Reiji : " Qu'est ce qu'il a de si spécial pour toi ce chat? "

Le neko hocha les épaules. Le fait qu'il parle y était pour beaucoup et il ça lui donner l'impression de protéger plus qu'un chat. C'était la conviction qu'il avait. Il était certain d'avoir compris quelque chose.

Dai : " Je pourrais te retourner la question. "

Reiji soupira:- Je reviendrai. Mais tu sera surpris quand tu comprendra sa véritable nature.

A sa réponse, le chat lui tira la langue par dessus l'épaule du jeune homme et ce coucha dans sa capuche.

Reiji:-Tu as un sale caractère,"patouche". C'est ridicule comme nom...

Il tourna le dos et s'exclama à Akuma:-Protège la.

Et il parti

Dai croisa les bras en le voyant partir. En réalité il n'avait jamais était aussi soulagé. Il ne se voyait pas ce battre contre un type pareil. Il pouvait enfin se remettre à respirer normalement avec un grand sourire factice.

Dai : " Je suis fière de moi. "

Akuma : " Et si tu t'étais fait démolir? "

Dai : " Ce serait pas la première fois! Bon ok là je serais mort...tout ça à cause d'un chat. Qu'est ce qu'il voulait dire par protège là? "

Akuma : " Ce serait une femelle? "

Vu la voie avec laquelle le chat s'adresser à lui, ça il l'avait compris. Mais ces paroles firent mouche. Il retira le chat de la capuche pour pouvoir l'enfiler et cacher ses oreilles en approche de la ville et le remis sur son épaule. Il le regarda longuement, fixa ses yeux et repris sa marche avec Akuma. Il attendis quelques secondes pour murmurer au chat en souriant.

Dai : " Le bain d'hier était agréable, Patouche? "

Arrivé en ville, Akuma se dirigea vers un veille appart. Daisuke et le chat les suivirent. ils entrèrent. L'endoit était plein de poussière.

Akuma: "On pourra se cacher ici quelques jours..."

Daisuke: "On est ou?"

Akuma: "Dans mon premier appart.."

Il se dirigea vers la cusine, esperant que sa bouteille de gaz marche encore. Il insita un moment puis réussis. Il retourna vers les deux qui avaient dépoussierer le canapé et s'y était assis.

Akuma: "Le gaz marche..un de nous deux devrait aller faire quelques courses pendant que l'autre fait le ménage...qu'en dis-tu?"

En entrant dans l'appartement Dai avait sût immédiatement qu'il appartenait à Akuma. Malgré ça il avait poser la question instinctivement. Peut être juste pour vouloir s'en assurer. Il se trouvait un peu idiot. Il n'avait plus vu l'intérieur d'un appartement depuis des année. Il avait enchainé les familles d'accueil avant de perdre ce confort. Recueillis au couvent, logeant ensuite un placard aménager en chambre à l'internat, les rues aussi, puis l'endroit d'où il avait fuit. Tout ceci semblait complétement idiot et impossible, mais Dai ne connaissait pas ce confort. Tout ce qu'il avait trouver à faire fut de dépoussiérer le fauteuil et de s'y installer le temps d'observer un peu le lieux. Le neko ne savait pas pourquoi, mais il sentait qu'il y avait eut de la vie dans cet appartement. Ou plutôt pour mieux dire, Akuma n'y avait pas vécu seul. Il l'enviait un peu là dessus.

Akuma : "Le gaz marche..un de nous deux devrait aller faire quelques courses pendant que l'autre fait le ménage...qu'en dis-tu?"

Dai n'était pas à l'aise dans ce genre d'endroit. L'habitude lui manquer et ça devait être la seule raison qui ne le faisait pas aimer ce confort, ou peut être pas. Le neko avait de nombreuses raisons pour ne pas s'y sentir à l'aise.

Dai : " Laisse je vais y allez. Me connaissant je suis tellement curieux que je me mettrais à fouiller. Et en cas de problème je court plus vite. "

Le jeune homme c'était presque enfuis. Il n'avait pas attendu que Akuma lui dise quoi acheter. D'ailleurs il n'avait toujours pas d'argent et il était parti sans y penser. Il ne pensait même plus au chat qui l'accompagnait d'ailleurs. Le neko s'était perdu dans ses pensées. Comme souvent à chaque fois qu'il se retrouver seul. Il entra dans une supérette et en ressorti quelques minutes après. La seule chose qu'il avait été capable de voler était un paquet de cigarette. Comme si la nourriture ne lui manquer pas plus que cette cochonnerie à laquelle il n'avait pas toucher depuis des années.

Akuma soupira en regarda Daisuke presqe s'enfuir. Il commenca a nettoyer. La chambre, le salon, salle de bain et autres pièces. Il retourna vers la pièce principale ou le chat n'avait pas bouger. Il s'assit et le regarda.

Akuma: "Ce déguisement te vas bien..."

Le chaton ouvrit un oeil et le regarda. Elle fit genre de ne pas comprendre et le regarda.

Akuma: "Reiji me demanderais de proteger qu'une seule personne ... toi Suraya..."

La jeune femme soupira et reprit forme humaine.

Suraya: "Toujours aussi malin."

Akuma: "Merci. A présent j'aimerais savoir une chose."

Suraya: "Qu'est-ce que je fais là?"

Akuma: "Oui."

Suraya eut un petit rire.

Suraya: "Je me suis fait berner..par Erin."

Maïa, après s'être réveillée et avoir rapidement lavé son visage avec le peu d'eau qu'il lui restait, était parvenue à gagner quelques billets en vendant un collier auquel elle tenait. Elle regrettait, mais elle n'avait pas le choix. Aussitôt, elle avait mis une partie de l'argent en sécurité, histoire d'économiser un peu, et en avait gardé un peu pour s'acheter au moins de quoi se remplir l'estomac.

Elle s'était dirigée vers le supermarché le plus proche, et elle attendait désormais comme une idiote à l'extérieur. Elle enleva sa capuche, pour essayer de paraître un peu moins suspecte, et cacha davantage les deux couteaux coincés dans sa ceinture. On était jamais assez prudent quand on vivait dans la rue. Elle vit Daisuke sortir avant même d'avoir pu entrer, le croisa, remarquant le paquet de cigarettes qu'il tenait dans sa main. Rien qu'à son expression, elle pouvait dire qu'il l'avait volé. Quand elle était à la Cité des Ruines et qu'elle devait dérober pour survivre, elle faisait exactement la même tête. Sauf qu'elle, elle ne s'emparait pas d'un vulgaire paquet de clopes, trop inutile.

- Il aurait au moins pu voler quelque chose de plus utile.

Elle ferma les yeux et se donna un claque mentale. Elle pensait encore à voix haute. Ses deux billets serrés en main, elle restait plantée devant la porte du supermarché. Est-ce qu'elle avait vraiment besoin de dépenser cet argent maintenant ? N'était-ce pas mieux de le garder pour quand elle serait vraiment affamée ? Ne l'était-elle pas déjà ? Elle n'arrivait pas à savoir. Elle se sentait partagée entre l'envie et la raison. Cette dernière l'emporta. Elle fronça les sourcils et fit demi-tour, rabattant sa capuche sur ses cheveux roux. Elle donna un léger coup de pied dans une pierre, abattant la semelle de sa ranger sur un pauvre caillou. Un des fils de son jean presque trop abimé craqua, ce n'était d'ailleurs pas le premier. Un peu plus et il allait falloir lui en racheter un autre.

Elle ne cessait pas de réfléchir, quel genre de job pouvait-elle faire dans cet état ? Chasseur de prime ? Trop épuisant, elle ne tiendrait même pas la première mission avec son corps aussi affaibli. Elle avait pensé à serveuse, mais elle ne mourrait pas d'envie de se retrouver en jupe, à se faire mater le cul dès qu'elle tournerait le dos, et à devoir esquiver les mains baladeuses des ivrognes qui se rendaient dans un bar pour épuiser les stocks de Whisky. Très peu pour elle.

- Putain.

Et elle jurait encore. Plus les jours passaient, plus elle devenait grossière. La vie qu'elle menait la changeait, elle n'était plus la petite gamine timide et effrayée de tout qu'elle avait été. La seule chose qu'elle souhaitait, c'était de retourner à la Cité des Ruines, de retrouver son mode de vie du jour au jour, à voler sans être poursuivie par la justice, à voyager, aller de province en province au dos d'un cheval à peine dressé, passer d'un désert aride et hostile à une étendue de glace tout aussi dangereuse. A la Cité des Ruines, les lois de la nature n'étaient plus rien, on trouvait des cobra gigantesques, des griffons et des dragons. Et par dessus tout, la personne qui lui manquait le plus, celle qui ne voulait pas quitter son esprit. Elle avait le mal du pays, le mal de lui. Et elle venait de se déprimer pour la journée rien qu'en se rappelant son visage.

Au parole de Dai, lors du départ de Reiji, la fit rougir intérieurement. Il l'avais vue? Qu'elle galère. Dans ce cas, elle ne répondit pas. préférant le silence pour l'instant.
Puis, ils arrivèrent à cet appartement qu'elle connaissait bien ,en effet, Yuki l'avais partager avec Akuma, et donc, dans un sens, elle aussi.

Suraya reprenant:-Enfin bon, je m'en suis rendu compte après vous avoir rejoint.

Akuma:-Comment sa?

Suraya:-J'avais pour mission de casser la figure de Daisuke sans le tuer. Mais je savais pas que sa venais d'elle, et je savais pas du tout le reste de l'histoire.Mais bon, maintenant que j'ai compris et que je suis la, je vais rester vous donner un coup de main et bien sur laisser tomber ma mission.

Le silence dura quelque minute avant que Suraya ne se lève en s'étirant:-Je ne vois pas pourquoi tu es revenu dans cet appartement, je croyais que tu aimais encore Yuki, sa doit te faire plus de mal qu'à personne d'autre. Tu es maso.

Elle repris sa forme de chat et se recoucha.

Elle usa à nouveau de la télépathie mais sur Akuma,cette fois ci:-Il va pas tarder, je veux me transformer, quand il me le demandera, sa lui évitera trop de choc.

Ils n'allaient pas être nourris avec un paquet de cigarettes. Dai ne pouvait pas retourner à la petite supérette et y ressortir sans achat une fois de plus. Soit le vendeur le prendrait pour un paumer, soit il comprendrait son manège. Il ne lui rester que les grandes surfaces. Mais voler là dedans, même un morceau de viande s'avérer compliquer et ce n'était pas le moment de se faire remarquer. De la musique au coin de la rue attira son attention. Camoufler par la capuche, il estima pouvoir s'y rendre sans trop de problème malgré la foule attrouper autour d'un petit groupe de danseur. Vite emporter par la musique Dai frapper instinctivement le rythme de son pied au sol. En voilà une manière de gagner un peu d'argent. Il l'avait fait si souvent. Que se soit dans les rues ou lors de Battle qui finissaient la plupart du temps en baston. Il se serait joint à eux volontiers. Il en avait non seulement le besoin pour l'argent mais aussi l'envie. Mais c'était une très mauvaise idée. Dansait avec ses blessures n'allait pas être simple et il devait rester discret. Discret mais...fourbe.

Le neko ressorti de la foule comme si de rien était. Profitant du monde, il avait été faire semblant de glisser la pièce dans la boite à crayon qu'ils avaient utiliser pour réclamer leur dont et en avait voler tout le contenu. Parti avant la fin du spectacle de rue, personne ne se rendrait compte de rien. Sa fourberie lui permis de se rendre dans les grandes surfaces et d'acheter tout ce qui était possible pour un bon repas. Il préféra un paque de lait à la bière et ressorti quelques dix minutes plus tard les bras charger.

Le vent lui porta l'odeur du feu...la jeune femme qui l'avait aider la veille. Curieux il suivit l'odeur jusqu'à l'apercevoir au loin. C'était elle qu'il avait aperçu derrière l'hôtel sur un carton le soir où elle l'avait aider inconsciemment en se chargeant du hunter. Elle n'avait pas l'air de savoir qui il était ni de vouloir s'enticher des autres. Mais il lui devait une fière chandelle. Il siffla entre ses dents, assez pour qu'elle se retourne et l'aperçoive. Elle avait vraiment une odeur désagréable. Dai sorti du sachet un pain coupé, du jambon qu'il avait penser à faire griller et une bouteille d'eau qu'il lui colla dans les bras.

Dai : " Prend ça pour un remerciement. "

Il ignorer si elle l'avait reconnus et s'en ficher. Lui il avait la conscience tranquille. Il esquissa à peine un sourire et reparti pour l'appartement de Akuma.

Devant l'immeuble Dai s'arrêta et soupira comme si il s'apprêtait à entrer en prison. Il fini par pénétrer le bâtiment, puis par rentrer chez Akuma. Il déposa les courses devant ce dernier, sorti un litre de lait, s'en remplit un verre pour lui et un bol pour le chat.

Dai : " Me regarde pas comme ça, j'ai payer. "

Akuma : " Et avec quoi? "

Dai : " On s'en fou non? N'oubli que j'ai encore la dalle alors si tu ne sais pas faire la cuisine laisse moi faire. Je m'en sort un minimum. "

Akuma : " Pas de problème sur le chemin? Tu n'a rencontrer personne? "

La fille qui put pensa t'il. Mais connaissant Akuma il s'inquiétrait dés qu'il lui dirait être entrer en contact avec.

Dai : " Mais non j'ai fait attention. "

Maïa, sans vraiment comprendre comment, s'était retrouvée avec de la nourriture dans les bras. De la nourriture qu'elle n'avait pas payé, mais qu'on lui avait offert. Elle se crispa en le voyant partir sans reprendre ce qu'il avait acheté. Il se prenait pour qui, sa mère nourricière ? Elle ne s'était pas décidée à mendier pour une seule et bonne raison, et ce qu'il venait de faire lui laissait le même goût amer que si elle l'avait fait.

Alors elle le suivit, évidemment. Soit elle lui rendait, soit elle faisait tout cramer, et autant ne pas gâcher. Elle le vit entrer dans un appartement, voulut y aller à sa suite, mais un léger bruit attira son attention. Dans le coin d'un cul de sac qu'elle venait de dépasser, un enfant était recroquevillé. Il semblait à peine peser vingt kilos, elle n'avait jamais vu un corps si petit et si fragile. Il tremblait, il lui rappelait les orphelins d'Eiden. Elle fit quelques pas jusqu'à lui et s'accroupit, son visage s'étant considérablement détendu. Elle lui tendit le pain et il sembla hésiter à s'en emparer. Se décrispant pour esquisser un sourire, elle lui donna tout ce qu'on lui avait donné.

- Tiens. Prends-le, je ne vais pas te faire de mal.

Elle vit les deux bras faibles s'avancer vers les aliments et elle le laissa s'en emparer sans regretter. Il porta de suite le pain à sa bouche, puis il mâcha lentement, tandis que la bretelle de son marcel trop grand et sale glissait de son épaule. Elle baissa les yeux, posa son sac au sol et retira sa veste, qu'elle posa sur ses épaules.

- Fais attention à toi.

Son ventre se crispa à la bourrasque qui lui déclencha un frisson. Le t-shirt qu'elle portant étant légèrement trop grand, le vent s'engouffrait par tous les espaces vides et elle allait mourir de froid. Mais elle, elle avait du feu, et le gamin n'avait rien.

Elle se redressa, dégourdit ses jambes et fit demi-tour avec un léger pincement au cœur, retrouvant son expression habituelle en récupérant son sac. Elle n'avait plus de capuche pour la cacher, cela dit. Elle constata avec soulagement que ses cheveux repoussaient lentement, elle allait bientôt pouvoir abandonner le carré qui lui allait si mal. Elle reprit ses esprits et se rendit jusqu'à la porte de l'appartement qu'elle avait vu Dai pénétrer, sortant de l'argent de sa poche, qu'elle estima suffisant pour repayer ce qu'elle avait donné à l'enfant. Elle frappa, et n'obtenant aucune réponse, elle recommença. Personne ne venait ouvrir, et elle n'avait pas que ça à faire. Elle donna un coup de pied dans la porte, irritée, puis s'adossa au mur d'en face en croisant les bras et fermant les yeux. S'il ne voulait pas ouvrir, elle n'avait qu'à attendre.

A peine avait il affirmer à Akuma qu'il avait était prudent qu'un coup résonna à la porte. Ses oreilles se dressèrent d'un bond sur son crâne. Quelqu'un venait de frapper à la porte et le neko craignait qu'on l'empêche d'avaler son repas une fois de plus. Il regarda Akuma d'un air qui dû lui paraître débile fut sa réaction.

Dai : " Tu attendait un invité? "

Akuma : " T'en a d'autre des conneries comme ça?! "

Une nouvelle fois, on frappa à la porte. Dai regarda par la fenêtre. Il n'y avait personne pour les attendre à l'extérieur du moins en apparence. Il s'enfila son verre de lait comme un enfant qui ne voulait pas se laisser perturber et hocha les épaules.

Dai : "Il finira bien par partir. "

Ce fut trop espérer. Cette fois c'est un coup de colère qui fit frapper la porte. Dai sorti de suite la dague, la personne derrière la porte n'avait pas l'air de vouloir partir et il n'avait pas envie de la voir défoncer la porte. Il fit signe à Akuma de rester en retrait. Ce qui signifier aussi qu'il comptait dessus pour le couvrir en cas de pépin. Des deux hommes, Dai était le seul à être prêt à se servir de la dague. L'hésitation d'Akuma avait déjà faillit lui couter la vie à plusieurs reprises.

Le neko s'approcha de la porte et l'entrouvrit légèrement, assez pour apercevoir assez surpris la personne qui se trouvait derrière. Il referma la porte aussitôt, comprenant qu'elle l'avait suivis.

Dai : " Oups..."

Akuma : " Des problèmes? "

Dai : " Je pense pas...laisse moi m'en charger ça me regarde. "

Daisuke ouvrit la porte à nouveau et cette fois la passa avant de refermer dans son dos. Il n'avait pas cru que cette fille allait lui poser problème. Qu'est ce qu'elle voulait? Il la vit s'avancer et lui tendre de l'argent. Peu, mais ça lui suffit à comprendre.

Dai : " Quoi c'est pour le pain? Laisse c'est pas comme si j'en avait besoin dans l'immédiat. "

Le jeune homme manquait de tact. Lui dire ça relever à lui dire qu'elle était plus misérable que lui. Peut être mais elle avait peut être moins de problème. Le regard qu'elle lui lançait le mettait mal à l'aise. Elle était reconnaissante ou en colère? Pour avoir frapper si fort dans la porte...il allait lui dire de repartir, de donner cette argent à quelqu'un qui en avait vraiment besoin. Alors qu'auparavant, il était prêt à tout pour en obtenir. Mais il se ravisa lorsqu'il vit à travers les vitres de l'entré des hommes solidement vêtu s'approcher de l'immeuble.

Dai : " Oh merde... "

Il attrapa Maïa par la main qu'elle lui tendait et la fit rentrer de force dans l'appartement sans se soucier de se qu'elle disait.

Dai : " Aku! On est dans la merde! "

Akuma : " Tu t'es fait griller?! C'est qui cette fille? "

Dai : " Je sais pas mais...mais oui. Tu va nous aider hein? Tu me doit bien ça non? Plus que de l'argent un petit coup de main se serait pas de refus. Ces types font fouillé l'immeuble. Joue le jeu, dit leur que cet appartement et le tient et qu'il n'y a personne d'autre. Je sais pas moi arrange toi pour qu'ils ne le fouillent pas pendant qu'on soit cacher. "

Akuma : " Tu veux lui faire confiance? "

Dai : " T'a une meilleure idée peut être? "

Faire diversion une fois encore Dai n'y arriverais pas. Ses jambes n'avait plus de force. Faire confiance à une inconnu qui n'était peut être même pas humaine était risqué mais avaient ils vraiment le choix?

C'était la meilleure. Daisuke avait eu la superbe idée de la mêler à leurs problèmes. Elle se retrouvait enfermée dans un endroit qu'elle ne connaissait absolument pas, avec des inconnus, à devoir régler leurs soucis de communication avec une bande d'agents pourris et faiblards. Super.

- Je promets rien.

Maïa s'était alors sagement redirigée vers la porte, décontractant le plus possible son visage pour esquisser un léger sourire. Elle ouvrit la porte un peu après que le premier coup ait retenti, l'air confuse. Elle toisa l'homme de haut en bas, remarquant rapidement l'arme à sa ceinture. Très discret comme endroit. En tout cas, il connaissait son visage, maintenant. Si elle se faisait prendre, elle était dans la même merde que les deux autres à l'intérieur.

- Je peux vous aider ?

Elle glissa une mèche de cheveux derrière son oreille. Le type semblait décontenancé, et doucement, elle vit une goutte de sueur glisser le long de son cou. Alors comme ça, son stratagème marchait. Si elle augmentait sa propre température bien plus haut que si elle avait de la fièvre, la chaleur se répercutait sur les autres. Elle venait d'apprendre quelque chose.

- On cherche deux fugitifs, de sexe masculin, ils sont très probablement passés par ici.

Il lui montra les avis de recherche pour qu'elle ait une description physique des deux personnes recherchées. La main toujours appuyée sur la poignée, elle sentait celle-ci chauffer tout contre sa main. Elle fit semblant de réfléchir, les yeux fixés sur les portraits, se mordillant le bout de l'ongle. Il transpirait davantage derrière ses lunettes de soleil, elle créait à elle seule une vraie canicule. Il n'avait pas l'air d'aller bien.

- Non, ces visages ne.. Ah !

L'homme s'approcha, se penchant vers elle pour savoir ce qu'il se passait. Maïa glissa une main dans son cou et profita de leur proximité pour regarder ses autres armes. Ce type était bien équipé, peut-être même trop pour être un simple agent stupide. Elle devait jouer finement.

- Maintenant que vous le dîtes, j'ai vu ces personnes là. Je ne suis pas totalement sûre, mais celui de droite me rappelle bien quelque chose..

Et sur ces mots, elle se colla un peu plus à lui pour pointer du doigt le portrait d'Akuma. Elle le sentit tressaillir, il était vraiment con, ou très bon acteur. Et dans le pire des cas, elle avait de quoi se défendre, même si elle préférait éviter d'en arriver là.

- C'était près du supermarché, à deux ou trois kilomètres. Il a eu des problèmes avec les vigiles..

Ces simples mots semblèrent le convaincre. Ces deux-là avaient définitivement des têtes d'aimants à emmerdes, pas difficile de deviner qu'ils devaient se faire repérer par les agents de sécurité comme des lucioles en pleine nuit. Il posa sa main sur son épaule, la remercia, et reprenant les affiches, il fit demi-tour en donnant ses ordres aux autres hommes.

Maïa, toute souriante, retourna dans l'appartement et referma la porte. Elle perdit tout de suite son air innocent, s'arrêtant pour redonner à son propre corps une température normale.

- Crétin.

Elle retourna dans la pièce où Akuma et Daisuke se trouvaient.

- C'est réglé. Vous devriez éviter de rôder près du supermarché du quartier.

La pauvre Maia qu'avais connu Suraya, ou plutôt Yuki semblais avoir disparut. Complètement disparut même.

Suraya s'assit sur le haut du canapé. Elle en avais marre de cet mascarade. La jeune femme finis par s'exclamer par télépathie à tous, surprenant Maia qui ne connais rien à cette histoire de chat.

Suraya:"Sa suffit maintenant, finis de jouer"

Le chat sauta au sol et avant même qu'elle ne touche le sol, elle repris forme humaine. Elle se tenais droite , bras croisée, ses longs cheveux se baladant légèrement de gauche à droite.

Suraya à Maia:-Tu es vraiment différente. J'appréciai la Maia de l'époque. Celle que tu es aujourd'hui est..glauque. Et sans vouloir te vexer, je te prête la salle de bain.

Maïa avait écouté Suraya jusqu'au bout, sans broncher. Maintenant qu'elle avait fini de déblatérer tout ce qui lui passait par la tête, elle pouvait enfin partir. Elle fit demi-tour, et sans un mot de plus ou un regard en arrière, elle quitta l'appartement. Si les trois emmerdeurs qui résidaient à l'intérieur se faisaient choper, ça n'était plus son problème.

Elle marcha un moment dans la rue, puis tourna au coin d'une ruelle pour s'engouffrer dans une autre, vide et sombre, comme la majorité du quartier. Elle continua d'avancer, jusqu'à ce qu'elle n'entende un léger crépitement qui l'obligea à se stopper. Elle tourna à peine la tête pour voir un sac poubelle rempli d'ordure s'enflammer. Et merde, elle était énervée. Ou plutôt irritée. Elle respira calmement, essayant d'oublier la façon dont Suraya lui avait montré sa « gratitude » d'avoir littéralement sauvé leurs fesses un peu plus tôt. Elle n'oubliait que rarement un visage, ça avait été facile de se rappeler cette tête qui lui avait tant déplu autrefois et qui lui déplaisait toujours. « Finit de jouer » qu'elle avait dit. Maïa eut un léger sourire en levant les yeux au ciel.

Le sac se consumant derrière elle reflétait parfaitement ce qu'elle avait envie de faire subir à Suraya. Mais elle respira calmement, reprit son sang-froid à fleur de peau parce qu'elle était épuisée et affamée, et se retint de cramer la ville entière. Elle éteignit le feu de la poubelle et inspira à fond.

- Excuse-moi si je pue, ma chère ! J'espère que la vue de ma misérable personne n'a pas trop incommodé notre altesse royale ! La prochaine fois je prendrais soin de te péter le nez, comme ça tu pourras rien sentir, même pas ta propre odeur.

Elle eut bien envie d'ajouter quelque chose, mais elle dut se retenir quand un type se retourna en face d'elle en l'entendant crier. Il poursuivit son chemin en la prenant très certainement pour une schizophrène, pas que ça la dérange, cela dit. Elle était habituée. Et elle se sentait mieux, après avoir extériorisé ce qu'elle voulait lâcher au visage de Suraya, même si elle n'avait rien dit par politesse. Mais apparemment, le fait de savoir se tenir n'était pas donné à tout le monde.

Akula regarda Maïa partir et se tourna vers Suraya.

Akuma:" Je te jure..toi et ta délicatesse!!"

Suraya:" Ho! C'est bon!!"

Akuma:" Non!!"

Il soupira et se tourna vers Daisuke qui fixait encore Suraya.

Daisuke:" C'est..ta vrai formé?"

Suraya:" Oui!"

Daisuke:" Et tu l' a connais?"

Dit-il en se tournant vers Akuma. Le garçon s'assit.

Akum1:"Oui..elle est ma...enfin plutôt...elle possède le corps de Yuki.."

Daisuke:" Possède?"

Akuma:" Yuki avait ce corps avant..mais elel est morte..enfin disons qu'elle lui a céder sa place car c'est la même personne..mais pas la même personnalité..."

Suraya:-Tu t'embrouille Akuma, il faut faire simple. Donc, pour résumé, je vivais dans un monde parallèle et les dieux ont décidé que ma vie était terminer. Je suis donc morte. Jusque la sait simple. Mais,suite à la destruction de mon ancien monde, après ma mort, beaucoup de personne son revenu ici, par un différent phénomène, magie, dieu, enfin ce que tu veux. Et moi, alors que je ne devais pas faire partie des personnes à revenir, j'étais morte à sa destruction ,je ne sait pas pourquoi je suis la. Mais j'y suis. Une personne me ressemblant en tout point, sauf de personnalité est née ici, avec moi au fond d'elle. Mais au fil des années, j'ai retrouver ma puissance et j'ai repris ma place.

Akuma:-En tuant Yuki.

Suraya:-Non, en fusionnant avec elle. Enfin bref, je suis ici. Et petit détail, je suis un démon, mi ange, mi démon, mais née humaine à la base. Enfin bref! Assez de présentation. Pour faire simple, je suis patouche, et Suraya.

Il aurait voulut avoir l'occasion de lâcher au moins un merci, après tout sans elle ils étaient cuit. Mais Maïa avait déserté le lieu lorsque Patouche avait revêtit sa véritable forme. Rester maintenant à espérer que Maïa ne leur pose pas de problème en les vendant. Maïa parti Dai se tourna vers la personne qui avait élu domicile sur son épaule pendant quelques jours. Il se trouvait bête...lui qui lui avait demander si le bain avait était bon. En réalité il n'avait pas espérer avoir eu raison. Il n'avait pas put ce l'imaginer.
Il esquissa un sourire en se rappelant la personne qu'il avait vu au lac durant la nuit. Dire qu'il avait penser à un Shinigami. Un chat comme ça sortait d'un rêve. Mais...il tourna le regard vers Akuma. Ils avaient l'air de ce connaître. Il compris bien mieux lorsque que Akuma et Suraya s'expliquèrent. Enfin compris. Se que raconter Suraya était compliquer à comprendre.

Dai : " Tu était obliger de te transformer en chat pour approcher Akuma? Qu'est ce que tu veux réellement? "

Pour Maïa les choses n'allait pas s'arrêter là. Alors qu'elle s'acharner toute seule contre Suraya et se qui venait de lui arriver, une jeune femme semblant dans la même galère qu'elle se heurta légèrement. Vêtu d'un vieux bonnet de laine, elle disposer de long cheveux noir méché de blanc et de grand yeux clair. De grand yeux qui ne lui permettait pas de voir correctement, d'où le fait d'avoir foncer sur Maïa. De son vieux gilet un petit porte feuille tomba de sa poche. Il ne contenait pas grand chose si ce n'est quelques photos dont une aux côtés d'une personne que Maïa avait vu plutôt: Daisuke. Elle s'excusa rapidement, l'air très mal à l'aise et chercha à reprendre sa route normalement.

Suraya se senti quelque peu blesser à la question de Daisuke. Qu'est ce que tu veux? C'est froid et désagreable.

Suraya:-Sa n'as rien n'avoir? Je m'était transformer à la base pour trouver ma cible. Toi. Mais ce gars qui m'as trouver, m'as mise dans une situation difficile.

Daisuke:-Ta cible?

Suraya:-Oui, je vis en prenant des missions et en les exécutant. Ce coup-ci, je devais te casser la figure mais te laisser en vie. Mais je n'ai pas voulut le faire. Tu ne mérite pas sa. Tu es un gars sympa et sensible avec des histoires difficiles. Je n'avais pas à te faire sa. Sans compter, mais sa sait après que je me suis rendu compte, la véritable investigatrice de sa, était Erin. Raison de plus, pour changer d'avis. Quand au faite que Akuma soit la, je n'était pas au courant. Mais je ne suis pas différente du chat, tu sait, arrète de m'agresser comme sa. Je ne ferai de mal à personne et oui, j'ai été maladroite avec Maia,mais je l'as connaissait avant tout sa,elle était une gamine gentille et agréable. Sa me fait de la peine de la voir comme sa, je voulais vraiment lui proposer de prendre un bain, par gentillesse.

C'était bien simple, Dai était perdu. Il avait l'impression que tout le monde ce connaissait et qu'il n'entrait pas dans le cercle. Heureusement que la préparation du repas avait dégager une bonne odeur dans la pièce, c'était peu mais on pouvait dire que ça suffisait à le réconforter sur son incompréhension. Car oui il n'y comprenait pas grand chose. Mais il n'avait pas trop à se plaindre. Il connaissait assez Akuma pour lui faire confiance et cette Suraya était une jeune femme tout à fait charmante. Faisant bien comprendre qu'il ne porter pas plus d'importance à cette discussion et à la "tromperie" de Patouche Dai hocha les épaules en souriant.

Dai : " J'imagine que si je devais vraiment me méfier tu aurait déjà causer des ennuis, alors tout va bien. "

Il fermi voler et double rideau et put enfin retirer la capuche qu'il commençait à ne plus pouvoir supporter.

Dai : " Il te reste des vêtements ici Aku? J'aimerais bien pouvoir me changer et trouver autre chose qu'une capuche pour me cacher. "

Akuma : " Va voir dans la chambre. "

Dai : " Sûr? Je te préviens je ne sais pas si j'arriverais à me retenir de fouiller. "

Le neko manquer assez de tact pour l'avouer, mais pour une fois, il savait montrer de lui une certaine forme d'honnêteté. Il espérer pouvoir rester ici assez longtemps pour reprendre du poil de la bête et trouver une solution à leur problème. Peut être que si Suraya était vraiment de leur côté, elle pourrait leur être d'une grande aide. A ne pas espérer le contraire.

Akuma eut un petit sourire.

Akuma:" T'inquiète j'ai rien de secret!"

Daisuke:" OKAY!"

Et il partit.

Akuma:" Tu devrais aussi voir dans le placard les vêtements de Yuki!"

Surya:" Cela te dérange pas?"

Akuma:" De toute manière ils ne serviront plus.."

Suraya lui sourit et se dirigea vers la chambre aussi. Akuma alla terminer le repas et nettoyer quelques assiettes. Il mit la tables et posa le repas. Il s'assit et les attendit. Beaucoup de choses venait d'arriver. en espérant qu3 tout cela allait se calmer...

Akuma eut un petit sourire.

Akuma:" T'inquiète j'ai rien de secret!"

Daisuke:" OKAY!"

Et il partit.

Akuma:" Tu devrais aussi voir dans le placard les vêtements de Yuki!"

Surya:" Cela te dérange pas?"

Akuma:" De toute manière ils ne serviront plus.."

Suraya lui sourit et se dirigea vers la chambre aussi. Akuma alla terminer le repas et nettoyer quelques assiettes. Il mit la tables et posa le repas. Il s'assit et les attendit. Beaucoup de choses venait d'arriver. en espérant qu3 tout cela allait se calmer...

Suraya suivis Dai dans la chambre pour récupérer des habits de Yuki.

Suraya à Dai,en souriant:-Te trompe pas de tiroir hein.

Dai:-Comment ça?

Suraya en tira un et montra juste quelque chose en dentelle:-Tu comprend.

Ceci suffit à faire comprendre à Dai que, en cas de mauvais tiroir, il risquerai de tomber sur des vétèments féminin et surtout des sous vètements féminin.

Suraya en sorti divers vètement, assez pour une tenue entière.

Suraya:-Je vais à la salle de bain.

Dai hocha la tête, il se contenterait de se changer dans la chambre. Il fouilla l'armoire quelques minutes en essayant de trouver des vêtements sombre qui lui permettrait de ne pas trop attirer l'attention mais aussi des vêtements qui lui irait un minimum. Heureusement lui et Akuma faisait à peu de chose prêt la même taille. Il trouva un jean noir qu'il assorti d'un simple tee shirt de la même couleur et trouva même une veste de cuir qui pourrait lui allez si il devait se rendre à l'extérieur. En revanche si il abandonner le sweet, il abandonner aussi la capuche et n'avait plus rien pour cacher ses oreilles de chat. Il ne faisait pas très chaud, si il trouver un bonnet il n'y aurait rien d'anormal à le porter. En attendant pour le moment il aller déjà essayer ce qu'il avait trouver et ce changer avant de pouvoir enfin manger.

Il enfila le jean et sans surprise dût le serrer d'une ceinture. Quand au maillot il n'eu pas trop de problème. Il cacha son dos nu, couvert d'une large cicatrice, du noir du tissus et bien qu'un peu large ça lui allait à merveille. Au moins il rester à son aise et avait enfin sur lui des vêtements qui sentait le propre. Il récupéra de ses anciens vêtements le paquet de cigarette encore plein qu'il avait voler plus tôt et une photo qu'il glissa dans la poche arrière de son jean. Il laverait ses vieilles loques le lendemain, après c'être reposer et soigner.

Il rejoignit Akuma, se réjouissant du repas poser sur la table.

Dai : " Alors là...si on m'empêche encore d'y toucher je m'effondre. "

Akuma : " Rassure toi il y a ce qu'il faut. "

Le neko s'installa à table et n'attendis pas le retour de Suraya pour commencer à gouter au plat. Depuis le temps que ses papilles n'avaient pas eu l'occasion de se régaler il n'allait pas attendre.

Quand à Suraya, changer et raffaichie, partie rejoindre les deux hommes. Elle se laissa tomber sur une chaise en soupirant.

Akuma:-Qui a-t'il?

Suraya:-Rien...

Dai:-Tu mange pas?

Suraya:-Bein...sa à l'air bon et tout mais...j'ai plus soif...que autre chose.

Akuma:-Oh...

Dai:-Bein quoi boit.

Suraya:-Je suis à moitié vampire! Il me faut du sang!Et celui que je conservai ici ne doit plus être bien bon! Temps pis, je vais patienter encore quelque jour.Je vais me coucher. Je vais squatter la chambre d'ami. Bonne nuit, à demain.

La jeune femme fini par partir ce coucher. Elle se mit en sous vètement et ce cacha sous les draps en soupirant. Ces yeux rougissaient doucement, au fil des jours. Mais cette histoire la dérangeait, elle sentait que ce calme allais vite disparaitre pour laisser, à nouveau place, à la douleur et le sang.

Savoir que Suraya était prise d'une soif sanglante avait fait taire Dai durant tout le repas. Il le savait. Si elle ne se nourrissait pas elle deviendrait dangereuse. Il le savait mais n'avait pas envie de le dire, il n'avait aucunement envie d'expliquer tout ce qu'il savait des vampires. Le repas terminer et les plats plus que vider, le neko aida Akuma à débarrasser se qui rester et fini par reprendre la parole en baillant.

Dai : " La digestion commence...je suis naze. Je vais me doucher et me coucher je prendrait le fauteuil ça m'ira très bien. "

Non pas qu'il ne pouvait pas partager un lit mais le confort de l'appartement ne lui plaisait pas plus que ça. Un fauteuil irait très bien. Il parti à la salle de bain, se doucha et en ressorti habiller d'un short et d'un tee shirt trop grand.

Dai se tourner et se retourner dans tout les sens sur le canapé depuis plusieurs heures. Il n'arrivait pas à trouver le sommeil. L'heure sur le radio réveil le faisait saisir à chaque fois, tout comme le point lumineux rouge sur la télévision en veille. Chaque fois qu'il sursauter, il se mettait une claque mentalement en ce disant qu'une lumière rouge n'était pas forcément des yeux de vampire. A ce train là il ne dormirait pas de la nuit et pourtant il se sentait épuiser. Après un long soupir, il se redressa et se dirigea vers la chambre d'ami. Il hésita longuement derrière la porte, une certaine angoisse l'empêcher d'y frapper et pourtant, l'aimant à ennuis qu'il était entra sans frapper. Suraya devait être calfeutrer sous les draps, il ne la voyait pas. Il s'assit au bout du lit et attendis quelques secondes.

Dai : " Tu dort pas. "

Elle sorti à peine la tête de sous les draps. Ses yeux rouges cette fois étaient bien réel et suffirent à lui donner des frissons. Il sorti la dague qu'il avait embarquer avec lui et se coupa le poignet. Lorsqu'il senti le liquide chaud couler le long de sa peau, le neko le tendis vers les yeux rouges qui le fixaient.

Dai : " Les vampires sont plus dangereux affamé que nourris...je serais plus tranquille quand tu sera rassasié. Essaye de pas gaspiller. "