Le mariage de Akuma

Suite au coup de feu, Suraya se retourna vers le bruit résonnant. Puis, l'odeur du sang de Amarock et Maia lui monta au nez. Elle n'eut pas besoin de fermer les yeux, que Sura avais immédiatement pris sa place, se transformant rapidement en démon et volant à toute allure sur le lieu du crime.

Elle arriva, Maia s'était déja endormie contre lui. Une pointe de douleur incompréhensible lui frappa la poitrine avant qu'elle ne se reprenne. Elle s'accroupit à coter d'eux, poussa brutalement Maia qui se retrouva coucher et réveilLer sur le béton.

Sura posa ses mains sur les plaies du dieu, lui arrachant une grimace de douleur, mais à la fois de chaleur. Il pouvais sentir ses blessures se refermer plus vite encore que si il le faisait seul. Puis, sous sa surprise, la créature des ténèbres l'embrassa, lui donnant de l'énergie, son énergie. Les blessures fermer, elle le repoussa et recula en se relevant regardant ses mains rougis par le sang. Mais s'étant relever rapidement, et ayant perdu de l'énergie au profit d'Amarock , elle tomba sur un genoux, s'empèchant de chuter plus.

Sura:-Qu'est ce que...!

Ne comprenant pas sa propre réaction, elle se releva difficilement, en reculant doucement, sa puissance habituel était vacillante, mais restais puissante et étouffante. Mais elle semblais chambouler.

Elle finis par dire:-Je ne devrais pas pouvoir utiliser sa...!Seule la peste le pouvais! C'est...un pouvoir dégueulasse d'ange! Comment....?!

Puis, d'un batement d'aile, elle commença à s'envoler.

Maïa avait assisté à la scène d'un air incrédule. Le corps las d'Amarok reposait à quelques pas d'elle. Elle resta choquée un instant, encore blessée. Ses plaies à elle ne s'étaient évidemment pas refermées. Elle regarda la silhouette de Sura s'éloigner, la vue floue.

Amarok tourna doucement sa tête vers Maïa, le souffle court. Il lui fit signe de venir avec sa main et elle se traina au sol pour le rejoindre, se demanda pourquoi il ne pouvait pas bouger alors que Sura venait visiblement de lui transférer de l'énergie.

- Tu es toujours faible ?

Il eut un sourire qui étira ses lèvres pâles et lui fit signe de s'approcher encore. Il posa alors sa main sur son front et transféra à Maïa l'énergie que Sura lui avait donné. Les plaies se refermèrent lentement, celles d'Amarok saignèrent de plus belle. Les cernes noires de Maïa disparurent et son teint redevint frais. Le souffle d'Amarok se fit plus faible. Elle se rapprocha brusquement de lui, les jambes de chaque côté de son bassin, et elle plaqua ses mains sur ses joues.

- Non, attends, me fais pas ça. Pas maintenant.

Les yeux d'Amarok commencèrent à se fermer mais elle le gifla soudainement pour le garder éveillé. Surpris, il ouvrit grand les yeux et sa joue se rougit sous le choc.

- N'ose même pas t'endormir ! Dis-moi ce que je dois faire ! Il y a bien.. il y a bien quelque chose..

Elle regarda autour d'elle pour trouver quelque chose pour l'aider, désespérée. Il eut un léger rire qui provoqua sa toux et il cracha un peu de sang. Paniquée, le souffle de Maïa s'accéléra et elle s'approcha du visage de son ami pour le voir lentement fermer les yeux.

- Il y a bien quelque chose que tu pourrais faire, murmura une voix dans son dos.

Elle se retourna brusquement, ayant pour réflexe de passer ses bras autour du cou d'Amarok pour le protéger. Elle leva les yeux pour entrevoir la personne qui lui parlait.

L'homme en face d'elle n'avait rien d'humain. Après avoir passé plusieurs années de sa vie avec Amarok, elle était capable de le deviner. Une aura glaciale émanait de l'inconnu qui la regardait de haut. Il était très semblable à Amarok. Il avait de courts cheveux blancs, aussi blancs que la neige. Des yeux d'un noir profond et un sourire glacial. Mais elle ne se sentait étrangement pas en sécurité.

- Oh. Pardonne mon impolitesse. Je m'appelle Nanuq. Je suis un ami d'Amarok.

Maïa frissonna et serra Amarok contre elle.

- Qu'est-ce que vous voulez ?
- Je veux juste aider mon ami.
- Qui êtes-vous, exactement ?

Un léger rire résonna dans la ruelle.

- Tu es vraiment curieuse. Je suis comme Amarok, mais je suis un ours polaire, pas un loup.

Maïa resta sans voix. Elle n'aurait jamais imaginé rencontrer un autre dieu.

- Tout ce que tu as à faire pour l'aider, c'est lui faire boire ton sang. Tu es déjà liée à lui, de toute façon. S'il boit ton sang, il se soignera de lui-même.

Maïa ne se fit pas prier. Elle avait peur de lui mais elle lui faisait confiance, d'une certaine manière. Au pire des cas, elle n'avait rien à perdre. Elle attrapa un bout de verre au sol et s'ouvrit le poignet. Elle regarda Nanuq un instant et fixa ses yeux. Puis, reprenant ses esprits, elle plaqua son poignet sur la bouche d'Amarok. Le sang glissa d'abord contre ses lèvres, jusque dans son cou. Elle dut lui ouvrir la bouche pour qu'il puisse boire.

Elle ne s'attendait juste pas à ce que ses yeux s'ouvrent brusquement. Elle sursauta, surprise, et elle croisa alors son regard. Ses yeux s'étaient changés en ceux d'un loup et il s'était brusquement agrippé à son bras. Il la fit basculer en arrière avec une force incroyable et mordit avec force dans son poignet pour boire plus. Elle eut l'impression d'avoir affaire à un vampire. Elle frappa son épaule pour qu'il reprenne ses esprits en gémissant de douleur.

- A..Arrête !

Ses yeux reprirent brusquement leur forme originelle. Il leva un regard incrédule vers Nanuq, puis le baissa vers Maïa qui avait du sang sur le visage. Il se redressa avec une vitesse impressionnante, attrapa Nanuq par le col et le plaqua contre le mur, le regard fou.

- Qu'est-ce que tu as fais ?!

Nanuq eut un rire amusé.

- Rien du tout. Je lui ai dit comment te sauver la vie.

Amarok tourna un regard effrayé vers Maïa.

- Tu l'as écouté ?!
- Je ne savais pas quoi faire ! Je ne pouvais pas juste te laisser mourir !
- ..Ce crétin vient de m'imprégner !

Maïa sembla confuse un instant. Imprégner ? Elle n'avait aucune idée de ce que ça voulait dire.

Sura s'était poser sur le haut de l'immeuble ou ils étaient proches. Imprégner? elle connaissais ce terme s'était commun dans son ancien monde.

Elle s'approcha de plus belle, en prenant une forme de jeune chiot caché au coin de la rue.Ainsi, elle entendais tout.

Mais le faite qu'elle puisse utiliser un pouvoir d'ange pure, la tracassais. Elle qui était noir comme le pire des démon, la dérangeais grandement. Sans compter qu'elle venais de sauver quelqu'un, même si il avais utiliser son énergie pour sauver une pauvre humaine, elle avais tout de même fait acte de chariter.

Finalement, elle attendit, assise tranquillement, attendant la suite. Est-ce que le terme "imprégner" avais vraiment la même signification ici que dans son ancien monde? Elle allais le découvrir. Et elle réagirais, ou non, en conséquence.

Amarok tourna ses yeux vers Maïa, la main toujours agrippée au col de Nanuq.

- Pars !

Elle se redressa mais ne comprit pas.

- Va-t'en, je t'ai dit !

Elle se releva et recula, les yeux plongés dans ceux de son ami.

- Mais.. mais..
- Ecoute, Maïa. Si tu ne pars pas dans les secondes qui suivent, je ne suis pas sûr de pouvoir me retenir de te vider de ton sang. Donc tu vas courir le plus loin possible sans t'arrêter, d'accord ? Tu ne vas surtout pas dans un endroit que je connais et tu m'évites à tout prix.

Elle acquiesça et fit demi-tour, avant qu'il ne l'appelle de nouveau.

- Je vais trouver un moyen pour régler mon problème, je te le promets. Je vais revenir. Alors attends-moi et ne fais rien de stupide.

Elle secoua brièvement la tête pour lui dire qu'elle attendrait. Puis, elle tourna au coin de la rue et il la perdit de vue. Un léger rire attira son attention.

- Tu es le meilleur traqueur que je connaisse. Tu penses sérieusement qu'elle peut t'échapper ? Je t'en prie. Tu vas la retrouver, et son sang, sa chair, tout chez elle sera tellement irrésistible que tu vas lui prendre.

Le souffle d'Amarok s'accéléra rien qu'à cette idée. Il baissa les yeux et ravala sa salive. Le vent s'agitait et le ciel devenait de plus en plus noir.

- Tu ne peux pas t'empêcher de tenter de sentir son odeur, pas vrai ? Tu sais exactement où elle est en ce moment. Tout ce que tu veux, c'est son corps.
- Je ne suis pas comme ça.
- C'est ce que tu crois.
- Je ne suis pas comme ça !

Il tenta d'écraser la tête de Nanuq avec sa main libre mais celui-ci disparut brusquement, jetant un regard et un sourire satisfait au petit chiot qui les espionnait.

Amarok recula rapidement, la tête entre les mains. Il trébucha et son dos heurta le mur derrière lui. Il glissa jusqu'au sol en se recroquevillant, les canines plantées dans sa propre lèvre. Nerveux, il plaqua ses mains sur ses oreilles pour arrêter d'entendre la respiration sifflante de Maïa qui continuait de courir.

- Dépêche-toi, dépêche-toi, dépêche-toi. Cache-toi.

Il tourna les yeux vers le chiot qui le regardait. Il était trop aveuglé par sa soif qu'il n'avait pas remarqué que c'était Suraya. Les yeux rougis, il passa sa langue sur sa lèvre inférieure pour récupérer le peu de sang de Maïa qui restait. En un râle de plaisir, il se laissa glisser davantage contre le mur. Il n'osait imaginer ce qu'il allait faire à Maïa s'il la voyait.

Sura soupira intérieurement. C'était la même chose que dans son ancien monde. Elle approcha sur ses 4 pattes, avec lenteur avant de se coincé entre les jambes du dieu. Ce dernier perdais la raison, doucement.

Le monstre repris sa forme humaine ,restant très proche de lui.

Sura:-Je ne comprend pas pourquoi je fait sa. Mais je vais le faire. Sa risquera de devenir amusant et qui sait... Ce sentiment perturbant disparaitra.

Elle se mordit son propre poignet et le força boire son sang à elle. Sang remplie de puissance, l'imprégnant à son tours.

Il semblais refuser cela, mais la démon lui tenais fortement la tète ne lui laissant guère le choix.

Le sang avaler, elle disparut, pour réapparaitre de l'autre coté de la rue.

Sura:-Comme sa, ton impégnation pour Maia s'annule. Je serai ta prochaine cible.C'est moi que tu va vouloir vider de son sang et me bouffer. Bonne chance, je ne suis pas une proie facile. Et sa ne sert à rien de faire semblant que sa ne soit pas le cas. Nous savons tout deux qu'une imprégnation, plus une imprégnation, annule la première et renforce la deuxième. Sur ce, bonne chance.

Puis elle repris sa marche, marchant se coup-ci normalement.

Amarok resta un instant crispé. Quand il sentit la dernière goutte de sang couler dans sa gorge, il se prit à en vouloir plus. Toujours plus. Il s'élança vers Sura à une vitesse étonnante, l'attrapa par la taille et la tira de plus belle dans la ruelle. Il la plaqua contre le mur de tout son corps et mordit avec force dans son cou.

De loin, on aurait dit un vampire. Mais la morsure était totalement différente. Et la façon de faire, aussi. La température d'Amarok grimpa dangereusement, comme s'il était fiévreux. Il se colla encore plus à Sura et lui enleva son manteau sans aucune délicatesse. Il passa ses mains dans le décolleté de son t-shirt et tira brusquement pour le déchirer, le faisant tomber en lambeaux. Il enleva lui-même son propre pull et souleva Sura du sol pour la mettre à sa taille.

Il continua de boire sans se retenir, et gorgée après gorgée, le désir d'en avoir toujours plus montait en lui. Il passa une main le long du dos de Sura, la décollant du mur froid le temps d'une caresse et la replaqua contre lui avec une force mal mesurée, créant quelques fissures. Il mordit à plusieurs endroit, laissant sa marque dans son cou ou près de sa clavicule, s'abreuvant plus et toujours plus.

Si elle ne l'arrêtait pas, il était prêt à la dévorer entièrement. Le mythe du grand méchant loup n'était vraiment pas un mythe.

Sura se sentit de plus en plus faible, mais son coeur était chaud. Elle se sentais envaihir par un désir différent que celui qu'elle ressent lorqu'elle violais quelqu'un. Quelque chose de plus doux, plus chaud. Mais il allais la tuer.

Le monstre tenta de le repousser mais sa puissance était écrasante, de plus, intérieurement, elle n'en avais aucune envie.

Mais elle le devais, elle ne voulais pas mourir. En conséquence, elle lui rendit l'appareil, plantant à son tours ses crocs dans le cou du dieu. Même si son sang était empoisonné, s'était toujours mieux que de ce laisser bètement vidé. De plus, elle si était habituée. Elle passa ses bras autour de lui, et but à grande gorger. Dés qu'il buvais de son sang à elle, elle faisait de même ,créant un cercle de survie et de plaisir.

Pour elle s'était un plaisir intense alors que pour lui, s'était de même.

Sura utilisa alors sa télépathie pour lui parler au plus profond de lui:-Si tu ne te réveil pas, on peut continuer comme sa pendant très longtemps...même si j'ai vue plus désagréable, je ne pense pas que tu apprécie le faite que tu devienne comme moi.

Amarok se recula alors brusquement en la repoussant contre le mur. Ses yeux s'étaient doucement changé en ceux d'un loup et il avait presque passé le premier stade de l'imprégnation. A peu près raisonnable, il attrapa une femme qui passait devant la rue, mordit dans son cou et bu son sang à grande gorgées. Une fois imprégné, il n'attendit pas plus. Il glissa une main sous son t-shirt et, passant une main dans la jupe de sa proie, il laissa son pantalon glisser jusqu'à ses pieds. Elle était totalement vidée de son sang quelques secondes plus tard.

Puis, son corps s'élargit pour laisser place au loup qu'il était réellement. Tout changea alors. Le premier stade, charnel et sensuel, laissa place au deuxième stade ; de la violence, pure et simple. Il mordit dans le corps inanimé de sa victime et déchira sa peau avec fureur. Il continua jusqu'à ce qu'il n'en reste presque plus rien. Le carnage dura quelques minutes, tout au plus. Il renifla le tibia qui restait au sol et se secoua, couvert de sang. Il tourna un regard vers Suraya et montra les crocs, avant de reprendre forme humaine. Il attrapa son pantalon au sol et l'enfila sans se presser. L'œil voilé par un plaisir encore à fleur de peau, il avisa son torse couvert de sang. Il tapa l'os du pied pour le faire rouler jusqu'à une poubelle et laissa quelques gouttes de ce liquide pourpre glisser dans son cou. Tout son visage en était maculé, contrastant avec ses yeux d'un bleu glacial.

- C'est fini.

Sura ramassa son manteau en soupirant. Elle lui lança en s'exclamant et passant ses bras autour de sa poitrine,la cachant légèrement:-Enfila sa, tu sera plus discrèt si tu cache tout le sang que tu as.

Puis elle se tut, le regardant juste. Elle ne put s'empècher de le trouver magnifique, d'autant plus quand il était ainsi, mais cela ne lui ressemblais pas.

Sura:-Tu devrais filer avec que ces faibles flics n'arrivent et ne t'embarque. Ah oui, et va prendre une douche.

Elle commença à marcher, gardant ses bras autour d'elle. Puis, elle repris sans s'arrèter:-Tu me le rendra plus tard...

Puis elle murmura pour elle même:-Dommage que sa soit juste des pulsions qui t'es rendu si...exiter...

Puis elle continua à partir.

Amarok n'avait pas réagi, du moins pas tout de suite. Il remarqua alors qu'elle partait et lui lança le manteau qu'elle lui avait donné.

- T'en a plus besoin que moi.

Il la toisa de haut en bas et fit demi-tour lui aussi. Il s'arrêta et huma l'air en murmurant le nom de Maïa. Quand il sentit son odeur, il s'élança pour la rejoindre.

Elle s'était cachée dans une sorte de casier en fer, recroquevillée sur elle-même. Evidemment, il n'avait eu aucun mal à la trouver. Elle sortit quand elle le vit et se précipita dans ses bras. Il l'accueillit avec un sourire léger et elle se recula en constatant qu'il avait du sang partout. Elle commença à paniquer et l'attrapa par les joues pour le baisser jusqu'à elle.

- Tu t'es blessé ?
- Oui, oui. Mais je me suis régénéré maintenant. Regarde, je vais bien.

Il n'allait certainement pas lui dire qu'il venait de tuer une inconnue. Il préférait ne pas s'en rappeler et oublier tout ce qu'il avait fait pendant cette période. Maïa croisa les bras sur son ventre et sembla énervée.

- Et depuis quand tu saignes rouge ? Tu me prends pour une idiote ? Je sais que ton sang n'est pas rouge !

Amarok baissa les yeux vers son torse et se mordit la lèvre.

- Je t'en prie, Maïa.. n'essaie pas de savoir. Fais-moi simplement confiance.

Maïa ne parut pas enthousiasmée au début mais elle finit par se décontracter.

- D'accord. Je suis contente que tu n'aies rien.

Il lui sourit et elle le serra de plus belle dans ses bras. Elle tourna un regard vers les passants qui regardaient Amarok et eut un léger rire.

- Ils doivent penser que tu tournes un film.

Il sourit à son tour et passa son bras sur ses épaules.

- Allez, cette fois on rentre. J'ai besoin d'une bonne douche.

Sura quand à elle, parti. Elle se dirigeas vers le lycée ou elle s'incrusta au niveau des douches du gymnase ou elle put, elle aussi, prendre une bonne douche. Elle y resta longtemps,cherchant à comprendre ce qui s'était passer, sans savoir vraiment.

Finalement, elle ressortie,sans trouver de dessus à piquer et divagua dans les rues.

Elle murmura:-J'ai soif...

En effet, le faite que Amarock l'ai attaqué lui avais donné une soif intense. Elle parti alors pour un lieu bouder et attira, un, puis deux et enfin trois hommes dans une ruelle sombre et vide. La, elle plaqua sa main sur leurs bouches et les vidas, tours à tours, un part un, se désaltérant et cherchant à passer sa colère sur quelqu'un. Elle mordais, remordais, vidais et bredouillais des choses telle que "Ce pouvoir de merde!", "Pourquoi je l'ai aider!","Qu'est ce qui me prend?!", "Tu es cruel, Sura! Pas un gentil agneaux immonde!" etc...

Elle était perdu, et se sentais bizarrement faible. Et sa, cela l'insupportais.

Gabriel s'assit normalement dans le canapé et soupira. Il regarda la seringue vide tristement.

Gabriel: "C'est ainsi qu'elle veut vivre alors.."

???: "Il semblerait qu'elle ait fait son choix..."

L'ex-emepreur releva la tête et vit l'ange.

Gabriel: "Oui, mais je ne lui en veut pas, elle veut vivre une nouvelle vie...dans un monde qui n'est pas en guerre..."

Mathaël: "Mais nous, nous devons expier nos fautes.."

Gabriel: "Oui..."

Un silence s'installa.

Mathaël: "Il ne nous reste plus beaucoup de temps, toute les mémoires ont été éffacés a part celle de Suraya.. Alors.."

Gabriel: "Alors tout ce qu'il me reste est d'aller lui dire adieu..."

Mathaël: "Je vais partir le premier car j'ai utiliser plus de puissance..."

Gabriel: "Je vais partir d'ici une heures ou deux de toute manière..."

Mathaël eut un petit sourire et murmura un simple: a plus tard alors. Le jeune homme s'écoula au sol, comme évanouit. Quand il se réveillera, il sera redevenu l'homme qu'il était avant que Mathaël ne se réveil. Gabriel se leva et mit son manteau. Il sortit et regarda autour de lui. Ou était-elle? Il inspira un bon coup et ferma les yeux. Il chercha sa présence et avec le peu de pouvoir qui lui restait il se téléporta. Là, devant lui, se trouvait Sura. La bouche pleine de sang et en colère.

Sura: "Qu'est ce que tu veux???"

Gabriel: "Lui dire adieu..."

La démone s'essuya la bouche en soupirant:-Tu va vraiment te laisser crever alors.

Gabriel:-Serais-ce un regret?

Sura:-Non! Arrèter de me croire "gentille"!

Gabriel:-Bref,je n'ai pas le temps.

Sura soupira à nouveau et laissa Suraya reprendre le contrôle. La jeune femme perdit alors son regard cruel et confuse pour laisser place à un regard triste.

Suraya:-Tu va te laisser mourir, Gaby...Tu as décidé d'arrèter de te battre?

Gabriel:-Je doit expier mes fautes.

Suraya:-Comment sauver quelqu'un qui ne le désire pas,hein?

Amarok finit par sortir de la douche, une serviette autour du cou. Il s'assit près de Maïa qui s'était installée sur le lit et la regarda piquer du nez. Il eut un léger rire et appuya son doigt sur sa joue pour la réveiller, ce qui eut un effet immédiat. Elle ouvrit brusquement les yeux et s'apprêta à le mordre, avant de se rendre compte que c'était lui.

Il pouffa de rire et se laissa tomber en arrière sur le lit, amusé. Puis, il se redressa et fit signe à Maïa de lui donner son poignet. Elle baissa les yeux et lui tendit. Quand il vit la profonde morsure dans sa peau et la plaie qui commençait à s'entourer d'un violet inquiétant, il se crispa.

- Ce n'est pas de ta faute. Je n'aurais jamais dû écouter Nanuq.

Amarok releva les yeux vers elle et approcha son poignet de sa bouche. Confuse, elle resta sans bouger jusqu'à ce qu'il ne se mette à lécher sa plaie. Le visage cramoisi, elle se détourna pour ne pas regarder et il continua jusqu'à ce que la plaie se soit complètement refermée. Maïa enfonça sa tête dans l'oreiller, embarrassée.

- Tu étais obligée de le faire de cette manière-là ?..

Amarok prit un air innocent et leva les yeux au plafond dans une moue angélique.

- Non. Mais j'avais envie de voir ta tête.

Maïa se redressa, une expression entre l'énervement et l'embarras. Amarok eut un léger rire et caressa l'arrière de sa tête d'une main.

- Les loups se soignent d'eux-mêmes, tu sais. Leur salive est leur médicament. Si je l'avais fait en tant que loup, ça te serait sûrement paru moins étrange.

Il étira ses bras et s'allongea nonchalamment sur le lit.

- Je suis désolé. Je ferais en sorte que ceci n'arrive plus jamais. Je ferais en sorte de ne plus jamais avoir à te soigner de quoi que ce soit. Tu seras toujours en sécurité, alors.. ne me déteste pas et fais-moi confiance.

Maïa hocha la tête avec un soupir. Elle s'allongea elle aussi et ferma les yeux. Sans rien dire, Amarok le fit à son tour. Il n'avait plus qu'à espérer que cette histoire d'imprégnation n'apparaisse plus jamais dans sa vie.

Gabriel : "Allons...je ne vais pas mourir...je ne peux pas mourir. Personne ne me le permettrait. Je vais juste m'endormir éternellement quelque part avec Mathaël."

Suaraya: "Mais je ne te reverrais plus jamais.."

Gabriel vint, avec une tendresse inattendue, lui embrasser le front.

Gabriel: "Soit sympa avec Akuma, lui aussi a perdu la personne qu'il aimait.."

Suraya: "Et si je te disais que je refuse?"

Gabriel: "Je le plaindrait..."

Suraya soupira et la regarda. L'ex-empereur vint l'embrasser avec amour.

Gabriel: "Adieu mon amour. Tu a été la seule d'avoir réussis a me faire oublier Sunie.. Je t'aime"

Et a ces moment, le corps que Gabriel abritait s'écroula au sol. L'ex-empereur venait de disparaitre, et pour de bon.

Suraya: "Je t'aime aussi..."

Suraya resta un long moment silencieuse à regarder le corps inanimé de Aku. Gabriel avais réellement disparut. Un larme coula sur sa joue. Elle la ressuya et posa son long manteau noir en cuire sur le dos de Akuma. Elle le redressa, le posant contre un mur en soupirant. Elle ressentais une grande douleur au fond d'elle, mais d'en un sens, elle savais. Elle voulais ne pas y croire, mais au fond d'elle, elle le savais parfaitement. Elle savais qu'elle ne pouvais pas le sauver cette fois ci. Il avais pris sa décison. Et pour son bonheur à lui, elle avais finalement décidé de le laisser aller.Elle remis une mèche de cheveux de Aku en place en disant doucement:-Et toi maintenant? Yuki n'est plus...Gabriel n'est plus...nous sommes seuls...Il faut que Amarock réponde à Sura, lui explique ce qui lui arrive.

Elle laissa à mot au mage disant ces mots: "Si tu veux une explication à tout ça, retrouve Amarock, et je t'expliquerais. Suraya"

Puis, elle disparut retrouvant Amarock de loin. Il était dans un appartement, et elle sur l'immeuble en face. Elle ferma les yeux et décida de s'entretenir seule à seule avec Sura.

C'est dans un décor de lumière et de noirceur que Sura fit face à Suraya, dans une discution interne.

Sura:-A quoi tu joue toi?! Depuis quand tu me laisse...!

Mais Suraya la coupa:-Si je te laisse prendre le contrôle sait pour que tu apprenne ce qu'est le sentiment que tu ressent actuellement.

Sura:-Un sentiment?! N'importe quoi!C'est impossible! Je ne ressent rien!

Suraya:-La colère, la haine, la douleur, ce sont des sentiments.

Sura:-Sentiment rime avec amour, amitié! Tout ces mots qui me débècte!

Suraya:-Et pourtant tu fait actuellement preuve d'amour.

Sura:-Quoi?!

Suraya:-Oui, je te l'affirme, ce que tu ressent actuellement,c'est de l'amour, de l'amour pour Amarock.

Sura:-CONNERIE!

Suraya:-Dans ce cas, va voir sa par toi même. Tu l'as embrasser, il t'as touché, tu l'as sauver, tu as un sentiment de colère et de peine en voyant la relation qu'il a avec Maia. Si tu veux comprendre, tu va devoir faire face à sa.

Sura resta silencieuse malgré ses poings serrer.

Suraya:-Je vais te laisser voir les choses par toi même, encore un peu. Mais j'ai de moins en moins de temps.

Sura:-En gros, je découvre, et ensuite, tu me renferme. Qu'elle joie dit donc...

Suraya:-Les choses peuvent se transformer, qui sait....

Puis, elle coupa court à cette discution. La personne rouvrant les yeux, fut Sura, bouleverser par les mots de Suraya. Elle regarda la fenètre dans lequel Amarock et Maia faisait leurs vies.Voyant la proximité entre Maia et Amarock, une envie plus forte que jamais de tuer se fit sentir...tuer Maia. Mais dans une sens, elle se demandais si elle devais vraiment. L'envie était forte, mais quelque chose d'indescriptible l'en empèchais. Devait-elle se laisser aller?

Amarok attendit que Maïa soit endormie et la recouvrit d'une couverture une fois levé. Il regarda autour de lui d'un air nonchalant, et, ouvrant la baie vitrée, il passa sur le balcon et ferma soigneusement derrière lui.

Il sentit le vent frais parcourir sa peau dénudée et frotta ses bras pour se réchauffer. Il hésita à rentrer de nouveau pour prendre un t-shirt mais se résigna quand il comprit qu'il allait réveiller Maïa s'il le faisait. Il regarda l'immeuble d'en face d'un air impassible, et croisa les bras. Il connaissait cette silhouette.

Alors, il parla si bas qu'on aurait pu croire qu'il faisait la discussion à lui-même, mais il était certain que Sura entendrait.

- Ne me dis pas ce que tu viens faire ici, ça ne m'intéresse pas. Si tu es venue te plaindre pour l'incident de tout à l'heure, tu peux venir ici que je te fasse rapidement oublier ce que tu as vécu en te bottant le cul. Si tu ne veux pas finir amnésique, alors va-t'en et n'essaie jamais de parler de ce que j'ai fait à Maïa.

Il passa sa langue sur ses lèvres séchées par le vent sec et enfonça les mains dans les poches de son pantalon.

- Non, en fait, ne lui parle pas tout court. Et ne fais pas ces yeux là. Je t'ai prévenue, non ? Touche à un seul de ses cheveux et tu ne verras pas le jour se lever le lendemain.

Avec un haussement de sourcil, il tourna le dos et rentra dans l'appartement en regardant derrière lui. Il se pétrifia quand il tomba face à face avec Maïa.

- C'était quoi, ça ?

Le sol sembla s'écrouler sous ses pieds. Il perdit son souffle et regarda le regard effrayé de Maïa le scruter. Il fit un pas un avant mais se stoppa brusquement quand elle recula pour s'éloigner de lui.

- Pourquoi.. pourquoi tu es comme ça ? Ce n'est pas la personne que je connais. Et de quoi est-ce que tu parles ? Qu'est-ce que tu as fait de si grave que tu ne veux pas me le dire ? Comment je suis censée te faire confiance si tu n'en es pas digne ?

Il tenta de s'approcher de nouveau mais elle recula et buta dans la table de chevet. La lampe de porcelaine qui était posée dessus vacilla et s'écrasa au sol. Maïa marcha dessus dans un « aïe » qui alerta tout de suite Amarok. Il se baissa pour l'aider mais elle recula de plus belle, marchant sur les brisures, ne s'en souciant plus.

- Arrête ! N'approche pas !

Il s'arrêta. Il regarda son sang couler sur le sol d'un air inquiet. Il ramena ses mains à lui et Maïa se décrispa.

- Je.. je vais m'en occuper dans la salle de bain. (Il tenta de parler) Non ! Ne viens pas. C'est bon. Je vais bien.

Elle courut jusqu'à la salle de bain et s'enferma à l'intérieur. Amarok resta un instant pétrifié et serra les poings, tremblant. Quelques secondes plus tard, avec une vitesse anormale, il arrivait sur le toit où se tenait Sura. Dans ses derniers pas, il tendit la main, l'agrippa au cou et la poussa jusqu'au mur où il la plaqua suffisamment fort pour fissurer les briques.

- Tout est de TA faute !

Ses yeux se changèrent doucement et il serra sa poigne. Son bras était si crispé que quelques veines gonflées se dessinaient sous sa peau.

- Attends de voir, Sura ! Dès que mon corps sera entièrement remis, je t'arracherai le cœur avec les dents ! Prépare-toi ! Tu n'as pas fini de me voir !

Il la lâcha brusquement et recula. Il cligna des yeux pour se calmer et passa sa langue sur ses canines acérées. Il tourna les talons et retourna à l'appartement sans un mot de plus. Il entra sans bruit et s'approcha de la porte de la salle de bain. Il s'assit contre elle et sembla un instant prêt à pleurer.

- Maïa.. pardonne-moi, je vais tout t'expliquer..

Sura resta bouche bée. Que l'on l'accuse avec de bonne raison, d'accord, mais la, il l'accusais de chose dont elle n'avais pas commis. Elle n'avais pour une fois rien fait du tout.

Elle se téléporta dans la salle de bain de Maia la surprenant et l'effrayant.

Sura d'une voix sombre mais triste:-Calme toi, je ne ferai rien. Par contre, je veux juste dire que l'abruti derrière la porte n'as rien fait. Du moins, rien que tu devrais lui en vouloir. Ce qu'il a fait était pour t'éviter de te faire du mal, c'est pour toi.De toute manière, il ne se contrôlais pas. Je ne sait pas pourquoi je fait sa! Je n'ai qu'une envie t'éventrer! Et pourtant...je devrais alors peut-ètre...Non.

Puis, elle disparut à nouveau, repartant sur l'immeuble, mais s'asseyant et tournant le dos au bâtiment ou Amarock et Maia se trouvaient. Elle s'asseya, sa tète poser sur sa main. Une seule larme coula de sa joue, avant qu'elle ne la ressuit d'un geste brusque.

C'est a ce moment que Akuma arriva. Il avait l'air de ne pas avoir dormi depuis des jours. Il la regarda, debout. Sura ne releva pas la tête.

Sura: "Qu'est ce que tu veux gamin?"

Akuma: "Comprendre ce qu'il s'est passé durant ce long vide dans ma tête..."

La démone soupira. Avant même qu'elle est le temps d'ouvrir la bouche qu'une femme arrivé sur le toit.

Sura: "He! Mon toit c'est pas un terrain de rencontre!"

???: "Je ne fait que passer...je viens saluer Akuma.."

Akuma: "E..Erin? Tu es vivante?"

Erin: "Malheureusement pour elle, ma soeur n'a pas put se débarasser de moi si facilement, mais il semblerait que Yuki ne sois plus là."

Maïa était restée pétrifiée. La soudaine apparition de Sura l'avait tétanisée. Elle l'avait également menacée, même si au final elle n'avait rien fait. Mais maintenant elle était certaine d'une chose.. Sura avait envie de la tuer.

Amarok resta à l'écoute, trépignant derrière la porte. Il hésita un instant et, soudainement impatient, il se mit à reculer.

- Maïa, pousse toi de derrière la porte !

Elle s'écarta de la trajectoire de la porte et un violent coup de pied la fit s'ouvrir avec force. Elle regarda Amarok entrer et aviser le sang au sol. Il sortit enfiler un pull, attrapa un manteau qu'il mit lui-même à Maïa, et passant une main sous ses jambes, il la souleva du sol.

- Je vais m'occuper de ton pied.

Elle se laissa porter sans rien dire, honteuse d'avoir réagi d'une façon si extrême, honteuse d'avoir dû écouter Sura pour réaliser qu'elle devait faire confiance à Amarok. Il la posa sur la table et s'accroupit devant elle, avant de prendre doucement son pied et de regarder les dégâts. Soulevant l'autre, il constata qu'il était dans le même état. Et c'était de sa faute.

Il partit pour aller chercher la trousse de soins et revint rapidement d'un air coupable. Il s'accroupit de plus belle, et avec une pince à épiler, il s'attela à enlever les petits bouts de porcelaine incrustés dans le pied de Maïa. Celle-ci n'osa pas dire que ça lui faisait mal. Elle endura les picotements et les douleurs jusqu'à ce qu'Amarok ait terminé et ne lui enfonce brusquement un chiffon dans la bouche.

- Mords là-dedans.

Elle eut à peine le temps de serrer les dents qu'Amarok appliquait déjà un coton imbibé d'alcool sur ses plaies. Elle étouffa un cri dans sa gorge et se cambra en arrière, crispée. Il s'arrêta et releva la tête.

- Tu vas bien ?

Maïa hocha la tête et il lui retira le chiffon de la bouche. Il enroula autour de chaque pied un bandage propre et stérilisé avant de se redresser en soupirant.

- Et voilà, Madame.

Maïa resta assise, les bras croisés sur son ventre, le dos courbé. Il passa une main sur ses cheveux pour lui dire que la douleur passerait bientôt. Elle leva un regard accusateur vers lui et fit une moue faussement énervée.

- ..au moins tu n'as pas léché.

Suraya:-Yuki? Non, elle n'est plus, en effet. Enfin, oui et non, je dirais

Akuma:-Quoi? Expliquer vous!

Suraya:-Oui, Yuki était ma réincarnation dans ce monde, et donc,mon âme a, pour une raison encore inconnu, repris sa place dans son corps d'origine.

Akuma:-Vous l'avez tuer?!

Suraya:-Non, elle le savais.Mais je ne suis pas la seule, toi aussi, tu es la réincarnation de quelqu'un si je puis dire. Celle de mon fût mari. Mais tu as de la chance, ayant effectuer un pacte à l'époque avec son éternel ennemie, il est revenu quelque temps puis, et définitivement parti...

Erin:-Vous parlez d'un autre monde? C'est quoi sait connerie?

Suraya:-C'est simple, la réalité est telle que différent monde cohabite les uns à cotés des autres sans ce rencontrer. Sauf que suite à la destruction de notre monde, plusieurs d'entre nous se sont retrouver ici, réincarné ou expédier. Ceci viens du faite que mon fils a voulut sauver ceux qu'il aimais, mais sa puissance étant si forte qu'il n'as put envoyer que ces personnes. Mais il semblerai que mon mari a effacer la mémoire de nombreuse réincarnation.

Erin:-Je ne sait pas qui tu es toi. Qui me dit que sait la vérité.

Suraya:-Laisse moi te le prouver en te bottant les fesses alors. Crois tu que je ne sache pas se que tu as fait avec Yuki et Akuma?

Erin:-Cela ne te regarde en rien.

Suraya:-Effectivement, mais on viens de me confier la protection de Akuma.

Akuma: "Ma protection?"

Suraya: "Oui!"

Akuma: "Qui..?"

Suraya: "Gabriel, mon feux mari comme je te le disais..."

Akuma: "Celui qui a prit possession de mon corps durant ce temps?"

Suraya: "Oui!"

Akuma: "Et toi Erin, tu le savais?"

Erin soupira.

Erin: "Oui, je connaissais Gabriel par le passé..."

Akuma: "Comment?"

Erin: "Je suis une vampire! J'ai vécu assez pour connaitre différent monde, et le monde que Gabriel controlait en fait partie. J'ai vécu un moment avec lui alors qu'il était empereur.."

Akuma: "Empereur?"

Suraya:-Oui, l'empereur du mal, Gabriel. Mais ce n'est qu'un titre à mes yeux.

Akuma:-L'empereur du mal? Si il a eut ce titre sait pour une bonne raison,non?

Suraya:-Il était connu sous ce nom suite à ces méfaits et à son gouvernement tiranique, certes. Mais il n'était pas si mauvais que cela. Je te le promet. Du moins, il ne l'as pas toujours été. Sinon, je n'aurais jamais accepter de mon propre chef de me marier à lui et d'avoir un enfant.

Akuma:-Qui etes vous vraiment alors?

Suraya pris un pant de son manteau au bout de chacun de ces deux mains et s'inclina doucement en tirant son manteau de chaque coté:-Je m'appelle Suraya Kazu, appelé aussi démon favoris des dieux et impératrice de Black Rose. Mais pas seulement, je suis aussi l'heureuse mère de 5 magnifiques enfants, dont l'héritier légitime de Black Rose.

Puis elle se releva avec le sourire en disant:-Mais dans ce monde, je suis plutôt connu sous le nom de Yuki Orasu.

Akuma:-Qui est tu au finale?

Suraya:-Je suis en premier lieu Suraya pour moi. Je suis désoler de te dire cela brusquement.

Akuma soupira.

Akuma: "Alors Yuki n'existe définitivement plus?"

Suraya: "Oui..Malheureusement..."

Akuma eut un sourire triste.

Akuma: "Je me doutais que quelque chose comme ça allait arriver...je sais pas pourquoi mais je m'en doutais...Bah, si j'ai bien comprit, de toute manière Yuki c'est vous aussi non?"

Suraya:-C'est exacte, si on veut mais ne va pas me confondre avec elle. Je suis elle s'en être elle.

Akuma:-C'est une situation étrange.

Suraya:-Oui, surtout que j'abrite en moi un démon à la puissance collossale et dangereuse. Donc si on peut dire je suis aussi Suraya, mais en même temps ce démon, même si je n'ai aucun contrôle sur elle, enfin presque.

Akuma:-Tout ceci donne mal à la tête.

Suraya:-Je ne te le fait pas dire. Mais pour le moment, la démone en moi cherche à comprendre un sentiment qui lui est inconnu pour un dieu.

Akuma:-Un dieu?

Suraya montra le batiment en face et plus précisément Amarock.

Suraya:-Lui, mais il fait tout pour la repousser et lui met toute les fautes sur son dos.Hors pour la première fois, elle n'as pas fait de mal à cette personne ou son entourage, au contraire, elle a fait preuve de gentillesse. Mais rien n'y fait. Mais elle doit comprendre, accueillir se sentiment. Et ainsi, elle serai un poids en moi pour moi mais aussi pour elle. Je ne sait plus comment faire.