Des amis et un esprit

Les températures rudes de ces derniers jours prouvaient que l'hiver était définitivement bien installer. La neige avait recouvert le sol et le givre l'avait rendu plus dure encore. Dans les rues sombres les disparitions avaient augmenter, le soleil se coucher beaucoup plus tôt et les créatures de la nuit commencer leur chasse plus tôt pour finir plus tard. Difficile était l'hiver et la survie lorsque le froid et le danger de la nuit s'y mêler.

Prisca l'avais remarquer depuis peu. Ca ne faisait pas longtemps qu'elle arpentait les rues - son chez soi - mais elle l'avait compris, la vie y était difficile, bien plus l'hiver que l'été. Mais ça ne pourrait pas être pire que de retourner à la CIA, avoir de l'argent pour subvenir à ses besoins et se retrouver comme le larbin d'un autre. Elle avait eut l'occasion de rencontrer d'autre sans abri, ou plutôt elle avait été sauver du froid par l'un d'eux. Ses sous un pont, bien à l'abri des courants d'air qu'elle avait rejoint quelques uns des SDF. L'un d'eux était face à un tonneau en feu à se réchauffer, une bouteille d'alcool en main, celui ci avait le coude facile. Un autre était assis de la même manière les mains sur la tête, l'œil agars, elle avait appris qu'il valais mieux le laisser en paix lorsqu'il n'avait pas eu sa dose de drogue. Une autre était coucher sur un matelas face à un feu, elle tenait son ventre arrondis en priant pour que l'enfant qu'elle ne sentait plus bouger aille bien. Un autre encore était coucher sur un matelas à côté de Prisca, assez âgé il était celui qui l'avais retrouver et l'avais sauver. Le pauvre homme avait fait la manche des heures durant à s'en brûlait les doigts par le froid et n'avais ramener que cinq malheureuse pièce. Rien de bien utile pour un repas.

La rouquine avait quitter le "camp", tous avaient besoin d'un repas, au moins pour se réchauffer le corps et le cœur. Emmitouflé dans un bonnet de laine et une écharpe de la même couleur, ses cheveux n'était en aucun cas visible et le manteau noir qu'elle porter était si peu épais que le vent parvenait à se faufiler à travers ses vibres de tissus. Noel approcher, ce n'était pas en comptant sur la pitié des autres qu'ils pourraient manger. Elle s'était diriger vers une cabine téléphonique et y entra, se protégeant du vent pendant le temps de quelques secondes. Elle posa un gobelet sous la machine et regarda de droite à gauche.

Prisca: Hyosuke, vas y s'il te plaît.

Un coup se fit entendre dans l'appareil et la monnaie tomba dans le gobelet. Elle recommença avec les parc mètres des parkings et autres machine à sous jusqu'à ce que l'argent monte. La première chose qu'elle fit juste après ça, fut d'entrer dans le premier magasin en vu pour y ajouter de quoi faire un repas chaud.

Maïa s'engagea dans une ruelle qu'elle connaissait bien. La tête baissée, les mains dans les poches, elle arpentait les rues mal famées sous le regard des nombreux sans-abris présents. Elle regarda attentivement le visage de chacun d'eux, cherchant à reconnaitre une personne qu'elle connaissait bien, et tourna à un coin de rue. Alors, elle s'arrêta près d'une vieille dame recroquevillée sur elle-même, cherchant à fuir le froid, et elle lui tendit un billet. Elle lui fit un sourire chaleureux et continua sa route.

Elle réitéra cette opération avec les sans-abris qu'elle jugeait « méritants ». Elle estimait que donner de l'argent à un drogué ne l'aiderait pas à aller mieux, au contraire. Elle ne donnait qu'aux personnes honnêtes, et affamées parce qu'elle n'avaient pas d'argent, pas parce qu'elles avaient tout gaspillé dans alcool et autres fantaisies inutiles.

Alors, elle se rendit à un petit campement où elle fut accueillie comme une déesse. Elle donna rapidement l'argent aux personnes présentes d'un air chaleureux et leur demanda de faire attention à ne pas se le faire voler. Elle enlaça tous ses amis, des amis qu'elle connaissait bien, et elle repartit en leur faisant un léger signe de la main.

Alors, elle croisa une femme. Elle la regarda longuement. Elle avait aussi l'air d'être sans-abri, mais quelque chose était différent. Elle fronça les sourcils en voyant les pièces tomber comme par magie dans son gobelet, sans qu'elle n'ait eu besoin de rien dire. Elle hésita à aller donner de l'argent. Cette femme ne semblait pas en avoir besoin, mais elle avait l'air honnête. Elle enfonça sa main dans sa poche de jean, regardant ce qui lui restait, et froissa quelques billets entre ses doigts. Finalement, elle fit quelques pas timides vers elle, et fourra un billet de vingt dans son gobelet. Puis, elle baissa le regard et fit demi-tour rapidement.

Walkman étais en vacance il voulais pas resté a l'interna il voulais voir l'homme qu'il avais élevé même si c'étais interdit car c'est un simple humain .
sur le chemin et dans c'est rue sombre walkman joue de la musique pour cassé cet ambiance froide .

https://www.youtube.com/watch?v=2fngvQS_PmQ

Il étais pressé de rentrai mais la fois stressé es que les vielle homme voulais le voir .
Walkman passe devant un boutique a se moment la il décide de s’arrête pour prendre quelque choses pour le vielle homme  .
Apres tout le vielle homme l'avais mit a l'internat parce que walkman étais différent .
Ou peut êtres juste pour se débarrassé de lui .

Walkman tourné dans dans le magasin sans savoir quoi prendre puis au final il se décide il prend une boite de chocolat .
mes il continu de tourné dans la magasin comme si il essayé de gagner du temps

Prisca regarda le billet froisser dans le gobelet, un peu surprise, elle qui partait pour le magasin avec déjà assez d'argent pour un repas. Un vent glaciale parcourus l'échine de Maïa, ça n'était pas le vent de l'hiver mais un vent un peu plus étrange, au point de la faire se retourner vers Prisca qui lui sourit en hochant la tête pour la remercier.

Prisca marmonna entre ses dents: La fait pas fuir abruti....

Elle entra dans le magasin et commença à chercher des conserves qu'elle pourrait acheter en nombre et réchauffer facilement. Une pour chacun des personne de sous le pont devrait suffire pour cette nuit. Elle chercher sans savoir quoi prendre. Elle ne connaissait pas vraiment le gout des autres mais elle savait que personne ne ferait le difficile. Finalement elle trouva les conserves dont elle avait besoin, pris un pac d'eau et s'en alla même chercher du chocolat.

walkman qui étais perdu dans c'est pensé marche dans le magasin et sans aire attention il heurte prisca
et la fais tombé sur les fesse .

Walkman=> désolé

Prisca se relève=> tu pourrai faire attention .

elle pas le temps de finir ça phrase que walkman étais entrain de lui ramassé toute c'est conserve qui étais tombé dans sa chute.
il est remet dans son panier

Walkman=> walkman êtres désolé vous êtres blessé ?

prisca=> non ça va .

Walkman=> panier lourd walkman porté votre panier pour s'excusé

Maïa frissonna de plus belle quand le vent passa sous son sweat. Mais, ça n'avait rien d'un vent normal. Elle se tourna vers Prisca, la toisa quelques minutes, cherchant quelque chose qui aurait pu lui faire un effet pareil. Puis, elle se retourna après avoir - légèrement - entrevu quelque chose. Un léger mouvement d'air, une masse floue, juste à côté de Prisca. Elle ravala sa salive et continua son chemin, effrayée.

Elle s'arrêta près d'un pont qu'elle connaissait bien. Là, elle y enlaça toutes les personnes qu'elle avait connue durant ses trois années passées dans la rue, et elle distribua l'argent sans compter. Non pas par pitié, non. C'était plus comme prendre soin d'eux, leur donner de l'espoir de temps en temps, leur montrer que tout les humains ne sont pas avides et avares. Même si, elle, elle n'était pas proprement humaine.

Elle s'assit avec eux et ranima le feu éteint depuis des jours. Elle avait un certain don pour la survie, et même si elle n'aimait pas le feu - comme tout bon animal, elle savait le faire. Elle avança ses mains vers lui puis laissa ensuite sa place aux autres, qui étaient bien plus frigorifiés qu'elle. Elle retira son bonnet et l'enfila sur la tête d'une petite fille, avant de lui sourire et de lui tendre une paire de gants chauds.

Venir aider les sans-abris était devenu une sorte de passion pour elle. Elle qui avait connu la misère et le froid, elle ressentait le besoin de les aider, parce que quand c'était elle à leur place, elle aurait voulu avoir quelqu'un qui l'aurait aidé, même si ça n'était jamais arrivé. Elle serra la main à une jeune femme arrivée depuis peu, qui avait quitté la maison après que son mari l'ait battue. Tous ici avaient des blessures, des cicatrices, le genre qu'on ne veut pas montrer. Elle comprenait, et par cela, elle se sentait plus proche d'eux.

Prisca posa sa main sur la poignet du panier, elle était déjà tomber bien bas dans sa fierté en vivant à même les rues cacher sous son épais bonnet et son écharpe pour éviter d'être reconnus à la CIA. Elle n'avait pas besoin en plus que quelqu'un prenne pitié en lui tenant son panier même si c'était il n'y avait rien de méchant à ça. Elle sourit à travers la laines de son écharpe et eut un hochement de tête pour remercier Walkman.

Prisca: Merci ça ira, je peut me débrouiller toute seule.

Walkman: Vouloir aider.

Prisca: Je sais c'est gentil mais ça ira, merci quand même.

Elle récupéra son panier de conserve et y ajouta quelques plaque de chocolat au premier prix. L'argent partait vite, très vite. Mais il lui rester peut être juste assez pour acheter un pyjamas de bébé bien chaud. ça ferais surement plaisir à celle qui partager son pont. Prisca passa à la caisse sous le regard presque odieux du caissier qui semblait espérer qu'elle est juste assez pour payer. Son air surpris ne cacha pas ses doutes lorsque la jeune femme put payer et ressortir du magasin avec les articles acheter. Prisca retourna sous le pont, apercevant d'un bout de celui ci la jeune femme qui lui avait glisser le billet qui lui avait servi à acheter plus de nourriture que prévu. Cette femme avait elle une âme si généreuse que ça pour apporter son aide à toute la communauté de sous le pont? Prisca hocha les épaules avec un petit sourire et rejoignis le petit groupe avec qui elle s'était lié d'amitié. L'alcoolique, le drogué, la femme enceinte et Nathan son sauveur des rues. Elle le réveilla en le secouant un peu, le feu se raviva presque seul, plus chaud et chaleureux encore sans que personne n'y touche.

Prisca: Nathan réveille toi, ce n'est pas bon de s'endormir avec un si petit feu.

Nathan se leva en se frottant rapidement le visage: J'oublis au moins que j'ai faim.

Prisca sourit et déposa une à une les boites de conserve sur une petite grille qu'elle posa sur le feu après les avoirs ouverte. Avec ça elles seraient chaude et prête à être manger rapidement.

Nathan: Où tu a eu tout ça?

Prisca: Les gens ont étaient généreux aujourd'hui.

Nathan: En pleine période de Noel? Tu à voler cet argent?

Prisca: Tu veux manger ou non? Va chercher Florence, Edouard et Nels s'il te plaît. J'ai aussi du chocolat et des vêtements pour le futur bébé.

Nathan se leva et lui embrassa le front: Toi tu est un miracle.

La jeune femme esquissa juste un sourire en retirant son écharpe, dégageant ses cheveux roux de sous son bonnet. La caisse sur laquelle elle allez s'assoir s'écarta au moment où ses fesses l'avaient effleuré. Elle s'assit au sol en pestant.

Prisca: Tu me fait chier Hyosuke. Si tu n'était pas déjà mort je te tuerais moi même.

Bien qu'ils soient à l'abri du vent, un vent glacial souffla en direction de Maïa. La rouquine se releva en soupirant et en s'époussetant.

Prisca: Ok c'est bon je vais la voir, mais reste tranquille.

Elle avança en direction de la jeune femme qui semblait s'y bien connaître les lieux et s'arrêta face à elle sous la surprise de cette dernière. Elle lui tandis sa main couvert par des mittennes et sourit.

Prisca: Merci pour tout à l'heure, grâce à toi cinq d'entre nous allons avoir un bon repas. Je sais que nous ne somme pas de la meilleure compagnie mais si tu veux rester un peu rejoint nous, tu a l'air de connaître assez bien les lieux.

Maïa fut, une nouvelle fois, submergée par le froid. Elle se retourna vivement entrevit la jeune étrangère. La masse floue à côté d'elle était toujours là. Elle la fixa un instant, ne faisant plus attention à Prisca, se demandant bien ce que pouvait être cette chose.. ça lui faisait froid dans le dos.

Elle lâcha la main de la femme battue par son mari et porta finalement son attention sur Prisca. Elle avait l'air humaine, mais cette chose rôdait près d'elle. Accroupie, elle recula un pied, puis l'autre, s'éloignant d'elle. Puis, elle serra rapidement sa main, avant de la lâcher et de remettre la sienne dans sa poche de sweat.

Elle se redressa, essayant d'ignorer ce qu'elle voyait grâce à son côté animal. Elle s'épousseta et décolla la neige qui s'était collée à ses Rangers.

- Je.. Je suis juste de passage.

Prisca elle même n'avais jamais aperçut cette forme qui la suivait depuis sa naissance, ou alors ce genre de moment était trop rare pour lui rester en mémoire. Un murmure dans le creux de son oreille lui expliqua clairement que la jeune femme face à elle n'était pas humaine. Elle devait sentir l'esprit comme les chiens dans les rues qui lui aboyaient dessus à son passage. On disait que les animaux avaient un sixième sens pour ce genre de chose, capable de ressentir ce qu'aucun humain ne pouvait sentir. Comprenant maintenant, Prisca ne chercha pas à insister plus longtemps. Elle pointa juste son petit coin de pont où Nathan avait rassemblait ses trois autres amis et surveiller la cuisson des conserves.

Prisca: Comme tu voudra, mais j'aimerais te dire au moins merci pour eux là bas.

Elle la salua simplement du regard et repartis avec un léger soupir dont l'haleine fut accentuer par le froid de l'esprit qui la suivait. Prisca retourner auprès des quatre autres et s'assit sur la caisse qu'elle tenue cette fois avant de s'assoir.

Florence la jeune femme enceinte eut un sourire: J'étais surprise de voir tout ce que tu avait ramener.

Nathan: Cette femme est miraculeuse, elle arrive toujours à trouver quelque chose.

Prisca: J'ai juste eut un peu plus de chance aujourd'hui rien d'autre. Certaine personne ont étaient plus généreuses que d'autre.

Avait elle lancer en montrant du regard Maïa qui était rester à l'autre bout du pont.

Maïa sentit tous les regards se tourner vers elle, et elle s'en alla du campement en faisant signe à ses amis. Elle lança un regard à Prisca, hochant la tête, puis elle continua son chemin.

A vrai dire, elle n'avait vraiment pas d'endroit où aller non plus. Elle ne voulait pas retourner à l'internat, où tout était synonyme de danger et où elle risquait de se transformer à n'importe quel moment. Elle avait froid, elle était même frigorifiée, mais elle préférait ça plutôt que l'internat. Elle s'installa sur un banc et souffla sur ses mains, avant de les enfoncer dans ses poches froides. Elle avait, par chance, hérité de la chaleur du corps du loup, et du fait qu'il supporte facilement le froid. Elle pouvait trottiner pendant plusieurs heures sans être fatiguée, elle pouvait être à la fois herbivore et carnivore, et elle n'avait aucun mal à détecter une odeur, un bruit ou un détail quelconque.

Quand elle était transformée, elle perdait tout conscience. Du moins, elle n'était pas assez habituée à être en loup pour se contrôler, elle et ses faits et gestes. L'instinct animal prenait le dessus, et elle pouvait même blesser ses amis ou sa famille. C'est pour cette raison qu'elle préférait ne jamais se transformer. Elle avait peur que l'accident où elle avait blessé son frère ne se reproduise, exactement comme dans ses cauchemars.

Le repas fut pour une fois bien tranquille et agréable pour le petit groupe de sans abri qui avaient eut plus de chance que les autres cette soirée là. Après avoir fait un bon repas, Prisca aimer malgré le froid se promener un peu dans la ville comme quelqu'un de normal. Elle était ressorti de sous le pont et alla se plaquer contre un mur. Les bras entourer autour d'elle pour lui tenir chaud. Les décorations de Noel donner à la ville une ambiance festive et une allure magnifique. Toutes ses lumières étaient superbe, quoi que, très vite gâcher par le bruit de pneu faisant craquer la neige. S'emmitouflant dans son écharpe pour mieux se cacher, la jeune rouquine regarda une des voitures banalisaient de la CIA passaient dans la ville.
Qu'est ce qu'ils faisaient ici?!
Essayant de passer inaperçu, elle commença à marcher lentement la tête tourner vers le bas. Hors de question d'être reconnus. Mais au lieux de ça, elle fut interpellait par l'un d'eux qui l'appela depuis la voiture. Prenant une grande inspiration elle se tourna lentement vers l'homme qui lui tendait un bout de papier à travers la vitre.

L'homme: Pardonnez moi, auriez vous déjà vu cette femme?

Prisca regarda rapidement la photo tendu, la sienne bien évidemment et secoua la tête.

L'homme: Vous en êtes sûre?

L'autre homme côté conducteur répliqua: Si elle était ici nous l'aurions trouver avec tout ce qui font la manche.

L'homme: Bon, merci quand même, bonne soirée.

Prisca ne répondit pas et regarda la voiture s'arrêtait un peu plus loin devant un SDF ivre et à moitié endormis sur le trottoir. Le lampadaire à côté d'elle commença à clignoter lorsque le pauvre homme interroger, regarda de droit à gauche avant de la pointer du doigt comme si elle était la réponse à un problème. Au moment où les deux hommes sortirent de la voiture, les dizaines de lampadaire qui éclairaient la rue s'éteignirent après que leur ampoule ai griller et Prisca commença à fuir. ça avait été une mauvaise idée de montrer son visage aux autres personnes dans la même merde qu'elle.

walkman rentre chez lui il habité a quelque mètre du magasin.
Il tape a la porte mais personne ne répond il prend la clés qui est caché sous le pot de fleure .
Il ouvre la porte il rentre dans la maison elle semblé abandonné depuis des mois les meuble étais recouvert de poussiers il y avais plus aucune trace de vie ici .
Il y avais juste une lettre sur la table.
Walkman l'ouvre

C'étais un lettre du vielle homme a l'intention du gamin

<< mon petit Walkman si tu lit cet lettre c'est que tu est revenu ici alors que c'est interdit .
pour êtres honnête j aurai voulu te revoir petit, les gens de ton interna on prédit que tu reviendrai un jour ou l'autre.
Si c'est le cas j'en suis heureux et tu me manque a moi aussi .
Il mon fais changer de pays alors je te laisse cet maison elle est a toi maintenant .
je m'en fais pas je sais qu'un jours on pourra se revoir mon petit car comme tu la dit un jour tu créera une si belle musique que toute les espèce ce réunirons et l’écouterons ensemble >>

Walkman étais déprimée il avais pas envie de resté seule dans cet grande maison il prend c'est affaire puis il sort faire un tours a l’extérieur

Maïa leva les yeux quand des pas légers résonnèrent dans la rue où elle s'était installée. Elle se leva, paniquée, se demandant ce qui se passait, voyant les voitures envahir les ruelles, carrefours et places. Le reflet des phares de voiture dans ses yeux l'aveugla. Elle se cacha avec ses mains avant que deux hommes ne crient et ne la saisissent brusquement par les bras. Ce simple geste brutal fut comme un déclencheur pour elle. Se sentant soudainement en danger, elle eut à peine le temps de comprendre qu'elle se transformait, avant de perdre totalement la raison.

Quand elle reprit conscience, elle était calée dans le coin d'un cul de sac. Les bruits de moteurs avaient cessé, et tout ce qu'elle pouvait sentir, c'était le goût du sang dans sa bouche. Elle attrapa un vieux drap et le posa sur elle, constatant que ses vêtements n'avaient pas résisté à la masse animale qu'elle devenait quand elle se transformait. Un loup de la taille d'un ours, ça ne courrait pas les rues. Elle espérait juste que personne ne l'avait vue, et qu'elle n'avait pas fait trop de dégâts.

Elle poussa sur ses bras pour se lever. Elle fit quelques pas, pieds nus sur le béton froid, et elle sorti de l'impasse où elle s'était réfugiée. Un véritable champ de bataille se dessina devant ses yeux apeurés. Les visages défigurés par des morsures des cadavres qui jonchaient les rues lui faisaient bien comprendre qu'elle était à l'origine de tout cela. Elle s'accroupit et se mit à paniquer. Qu'allait-elle faire ? Ou plutôt, qu'allait-elle devenir ? Et si la police se mettait à la pourchasser ? Et si quelqu'un l'avait vue ?

Walkman qui marché dehors pour se changé les idées attendu des bruit étrange comme des crie des gens pleure des bruit de douleur .
Il couru de toute c'est force en direction des c'est bruit mais plus il se rapproché plus il pouvais sentir l’odeur du sang .
mais il arrive trop tard les murs étais couvert de sang des cadavre sur le sole a moutier déchiqueté .
Walkman marché au milieux des cadavre malgré se chaos il arrivé encore a entendre un cœur qui bats .
Et la il vois une fille enroulé dans un drap blanc

Walkman=> vous allé bien ?

Maïa sursauta. Elle se cacha le visage et s'éloigna de l'inconnu qui s'approchait en gémissant. Elle n'avait pas voulu faire ça. Mais le sang sur son visage, tout autour de sa bouche et sur ses mains, tâchant le drap, son air apeuré, tout la trahissait.

Au bord de la crise d'angoisse, elle s'adossa à un mur et tenta de se calmer. Ce ne fut qu'un nouvel échec à ajouter à sa liste. Son corps se transforma lentement. D'abord ses yeux, puis tout le reste, tout se changea, pour au final, faire apparaître un loup de la taille d'un ours. Un loup au corps surdimensionné.

L'animal grogna. Puis faisant demi-tour en entendant des bruits de sirènes, il s'enfuit de la ville et disparut dans l'ombre, ne laissant que l'étranger, seul au milieu de ce massacre.

la police débarque elle plaque walkman au sole sa tête heurt le sole .
il est légèrement secoué

l'agent de police=> vous êtes en état d'arrestation vous pouvais gardé le silence tout se que vous dirai sera retenu contre vous pouvais faire appel a un avocat ..

Walkman=> Walkman avoir rien fais

Un policier le met dans la voiture et le conduit au post de police .
puis il mets Walkman dans une sale d'interrogatoire il avais étais menotté a la table .
Un commissaire entre dans la piece il étais vêtu d'un veste en cuire les cheveux en pétard il étais pas raser depuis plusieurs jour il sentais la clope .

commissaire=> alors gamin explique moi tout
Walkman raconte tout l'histoire sauf pour la fille vêtu avec le drap blanc qui c'est transformé .
Il se souviendra toujours de se visage il étais effrayé choqué cette fille avais peur .

le commissaire=> j'ai l'impression que tu me cache des truck

Le policier qui étais dans la piece s’énerve.

policier=> enlève c'est écouteur quand on te parle

Walkman=> walkman peux pas

Le policier s’énerve et lui arrache de la tête .
Walkman se recroqueville sur lui même et il se mit a crie de douleur => musique rendais moi musique

le commissaire prend les écouteur des main du policier et les remet sur la tête du gamin .
le commissaire s’énerve après le policier .

Commissaire=> tes con ou quoi se gamin a rien fais tu vois bien le massacre qui y a eu la bas le gamin a pas un goûte de sang sur lui comment il aurai fais .

le policée baisse la tête et s'excuse .

Commisaire=> par contre gamin je sais que tu a vu quelque choses mon instinct me trompe rarement tan que tu parle pas je te place en garde a vu

Quand Prisca avait commencer à s'enfuir tout avait été très vite. Cette fois Hyosuke n'avait agis qu'un minimum en empêchant les portières des voitures de s'ouvrir et explosant les pneus. Apparemment tout avait vite tourner à la panique lorsqu'une masse énorme était apparru en ville et avais semer la zizanie. Un animal à première vue? Tout été allait bien trop vite pour savoir qu'elle genre de chose s'était mais Prisca avait put profiter pour s'enfuir.

Elle s'arrêta dans l'enfoncement dans une ruelle, pensant pouvoir reprendre son souffle et se cacher un petit moment. Elle se laissa glisser contre le mur en soupirant et ramenant bras et genoux contre elle.

Prisca: Qu'est ce que c'était Hyosuke? Un nouveau jouer de la CIA?

Le mot "monstre" fut écrit dans la neige. .
Prisca: Monstre ou pas j'ai put m'enfuir grace à ça...

Quand elle se réveilla cette fois-ci, Maïa était dans la forêt. Elle ne savait pas exactement quelle forêt, mais ça n'était pas un problème. Elle ne se rappelait pas ce qui s'était passé, et tout ce dont elle pouvait se souvenir, c'était qu'elle était allée faire ses dons aux sans-abris. Elle posa sa main sur sa tête et fut étonnée en sentant un liquide frais couler le long de son arcade. Elle se ressuya et posa sa main dans la neige, qui se teinta de pourpre.

Elle recula brusquement, se rendant compte qu'elle était couverte de sang. Elle afficha une expression apeurée, ne se rappelant de rien, et elle regarda le ciel d'encre. La nuit semblait être tombée depuis des heures. Recroquevillée contre un arbre, son corps nu enfoncé dans la neige, elle trembla. Elle supportait le froid, mais il ne fallait pas exagérer. Elle amena ses genoux à elle et les entoura de ses bras pour se réchauffer. Si elle ne bougeait pas, elle mourrait ici. Mais, elle s'en moquait. Elle était déjà morte depuis longtemps.

Elle sentit un tissu frotter contre sa peau, ce qui la sortit de sa léthargie. Elle ouvrit et leva les yeux vers un homme, de son âge environ, qui lui tendait un manteau, faisant de son mieux pour ne pas le regarder. Elle sourit faiblement et s'empara du vêtement, avant de le poser sur elle. Elle murmura un simple merci, et elle le vit partir quand une autre personne l'appela, au loin. Enfin, elle se releva, enfila le manteau, et fit quelques pas dans la neige. Elle se fia à son odorat pour rentrer, passant par là où elle était déjà passée.

Finalement, au bout de quelques minutes, ou de quelques heures, elle parvint à entrer dans une ville. Epuisée, elle continua de marcher en titubant dans les plusieurs centimètres de neige qui recouvraient en ce moment la moitié du pays. Elle parcourut les rues en essayant de distinguer le peu d'odeur qui restait d'elle, et reconnut l'endroit où elle s'était rendue pour ses amis. Soulagée, elle s'adossa à un mur, se rassurant du fait qu'elle n'était pas perdue. Elle eut le réflexe de se cacher dans l'ombre quand deux voitures noires passèrent. Elle se demanda pourquoi elle avait fait ça, avant de sortir et d'entreprendre de reprendre son chemin.

Elle arriva à un croisement de rue qui lui rappelait étrangement quelque chose. La neige sentait le sang et tout était rouge, partout. Elle se dépêcha de passer, habillée d'un vieux manteau en cuir fourré, et l'odeur du sang surpassa toute les autres. Elle ne distingua même plus sa propre senteur. Elle fit quelques pas de plus pendant quelques minutes. Là, elle se rendit compte qu'elle s'était de nouveau perdue. Elle huma l'air, pour essayer de savoir où elle se trouvait, mais plus rien ne marchait. Elle soupira, laissa son regard errer sur le paysage, et elle entrevit une femme. Elle s'avança, et à quelques centimètres d'elle, elle se rendit compte qu'elle n'était pas présentable. Elle commença à reculer et tenta d'enlever le sang de son visage, sans succès.

Maïa avait beau vouloir ce camouflé, elle avait l'étrange impression d'être suivit. Ceci la força à avancer un peu, la guidant presque inconsciemment vers la ruelle où se trouvait assise et gelée Prisca. Si elle sortait maintenant elle était certaine de défaite repérer et pourchasser. La CIA resterais ici un moment maintenant. D'un autre si elle rester planter elle finirait par geler sur place. Maïa arriva dans la ruelle presque pousser par le vent glacer qui l'accompagner et se stoppa en voyant au bout du couloir sombre la jeune femme assise. Prisca tourna la tête vers elle, peu étonnée de la voire couverte de sang.

Prisca: Alors s'était toi? Je te doit une fière chandelle.

walkman se retrouve enfermé dans un cellule miteuse .

Le policier=> tu a peut êtres embobiné le commissaire mais pas moi je suis sur que tu fais partie des coupable

Walkman ignore le policier et écoute sa musique le sourire au lèvre.

Policier=> putain de gamin .

Walkman s'allonge sur le lit de camps qu'il avais dans sa cellule .

Walkman=> Walkman pas avoir de chance lui juste la au mauvais moment

Maïa regarda Prisca d'un air étonné. Elle se répéta les paroles qu'elle avait prononcées dans sa tête plusieurs fois, avant de comprendre. Tout ce sang.. Elle tourna la tête pour voir s'il n'y avait personne d'autre, et elle se pointa du doigt.

- ..Moi ?

Elle ne comprenait pas. Elle ne se souvenait d'absolument rien. Comment quelque chose d'aussi grave pouvait lui échapper ? Elle n'était pas fière. Même si, en l'occurrence, ça avait aidé Prisca, elle s'en voulait et c'était compréhensible. Avoir tué des humains faisait d'elle un hybride dangereux.

- Je.. Je ne voulais pas..

Elle se souvint juste de ce qui s'était passé avant qu'elle ne se transforme. Deux hommes l'avaient agrippée, l'ayant probablement prise pour une autre personne, et quand ils l'avaient plaquée contre le capot de la voiture, ça avait été le geste de trop. C'était tout ce dont elle se souvenait.

Elle paniqua. Si quelqu'un l'avait vue, elle passerait le reste de sa vie enfermée, en prison. Elle se trouvait horrible, un vrai monstre. Elle était certaine qu'elle n'aurait pas dû naître. Pourquoi Dieu avait-il permit qu'on lui donne naissance, à elle, une créature dangereuse ?

Prisca semblait se rendre compte de la panique de Maïa, elle avait été une des premières spectatrices de ce carnage et l'une des seules.

Prisca: Je ne dirais rien à personne. Personne ne sait vraiment ce qui c'est passer et à part les personnes de la CIA je ne pense pas que des innocents soient morts. Ils ont étaient protégeait...

Oui protéger par une force étrange que la jeune rouquine connaissait bien. Elle se releva en s'aidant un peu du mur. Elle ne pourrait plus rester ici encore longtemps. Elle savait qu'elle finirait par se faire repérer.

Prisca: Tu n'a pas l'air de te souvenir de se qui se passe. Ça n'a pas plus d'importance de toute façon. Je peut te trouver des vêtements si tu veux.

au bout de quelque heurs walkman et libérai le commissaire l'attendais dehors .

commissaire=> je peux plus rien pour toi maintenant .

Walkman le regarde avec interrogation

Commissaire=> les hommes qui son morts son de la CIA, il vont cherche le coupable et il vont s'en doute s'en prendre a toi maintenant.

Walkman=> merci

walkman s'en va calmement puis il retourne chez lui mes avant il voulais passé par la scène du crime

Maïa la remercia du regard et recula lentement. Elle sentit un frisson monter de ses pieds enfoncés dans la neige jusqu'à son dos rougi par le froid, mais elle continua de sourire discrètement. Elle fit quelques pas, regarda ce qui se trouvait autour d'elle, et remercia Prisca une nouvelle fois.

- Merci, mais ça va aller.

Finalement, elle s'avança vers elle, et fronçant les sourcils, elle chuchota :

- Excusez-moi, mais vous avez une étrange masse floue à côté de vous.. Est-ce que, par hasard, vous la voyez aussi ?

Franchement, elle avait l'impression que ça la regardait. Ce simple mouvement mystérieux l'effrayait, et elle était encore plus effrayée par le fait que c'était quelque chose d'invisible. Elle ne savait pas si cette créature pouvait influer sur les objets, mais elle sentait que c'était vivant.. ça lui serrait l'estomac.

Finalement, elle s'excusa pour avoir dit quelque chose d'étrange et fit demi-tour. Elle remua ses orteils pour que le sang continue de les irriguer, et elle expira tout l'air qu'elle avait dans ses poumons, laissant une brume blanchâtre s'élever dans l'air et disparaitre dans l'atmosphère.

Prisca était surprise, Maïa ne pouvait parler que de Hyosuke. Ça ne pouvait être que ça. Elle qui ne le voyais pas elle même était surprise de savoir qu'une personne étrangère à l'esprit puisse le voir.

Prisca: Attend ne part pas. Tu à dit que tu voyais quelque chose?

Maïa: C'était idiot oublis ça...

Prisca: Non enfin...comment expliquer sans que tu ne me prenne pour une folle...? Cette masse que tu vois...je ne la voit pas mais je sais qu'elle est là. Depuis que je suis toute petite je suis première a une ententité de laquelle je ne peut pas me séparer. Tu est bien la première à me dire que tu le vois...

Se rendant compte que se qu'elle lui expliquer était hors du commun, Prisca s'imagina l'effrayer et se retrouver seule à nouveau.

Prisca: Ah mais tu n'a pas à avoir meur. Hyosuke ne fait de mal à personne, à moins que je le lui demande.