Participation au premier event de Prisca

Perso principal: Elodie
lieu: Derrière un buisson
Thème: préparation d'un repas
situation de départ:  A l'endroit où vous vous trouvez beaucoup on remarquer des bruits étranges, des disparitions d'objets et des événements étranges. Adepte de Sherlock vous décidez de mener l'enquête...
genre : action





Par ce jour de juin le soleil estivale frapper de sa chaleur chaque parcelle de terre et faisait se plaindre les plus difficile. La populace se plaignaient des rayons trop fort qui faisaient rougir leur peau et transpirer leur front. Certain se voyez déjà à l'agonie d'une déshydratation qui n'avait pas encore eut lieu. Bref, tous se plaignaient autant que lorsqu'il faisait mauvais temps. Elodie n'était pas du genre à s'exposer au soleil et à continuer d'écouter les plaintes des pauvres gens qui n'avouer en aucun cas leur bonne humeur à cette douce brise d'été. Non, elle se qu'elle préférer était d'être à l'abri de quatre mur, à profiter de l'ombre et à dévorer les pages de roman policier, voulant toujours découvrir au plus vite l'intrigue. Pensant sans cesse, au roman qu'elle rêvait d'écrire elle même. Perdu dans l'un de ses romans, la discussion de pauvre imbécile sans gêne à parler à haute voie dans une bibliothèque attira son attention, comme si il lui s'agissait de la narration du livre.

Depuis un certain temps, beaucoup affirme avoir vu des choses suspecte se passer du côté de la maison de retraite. Des apparitions étranges ont eut dont de faire fuir les visiteurs. On dit qu'un vieille homme serait mort dans l'enceinte de l'établissement. Quelques jours à peine après son enterrement, sa pauvre veuve hurla à tout bout de chant – soutenant même – apercevoir à plusieurs reprise son défunt mari la scruter à l'ombre des feuillages des jardins durant la nuit. Serte, cette histoire insensé ne fut cru de personne, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'établissement. Mais les jardins piétiner en pleine nuit, la cabane du jardiner ouverte au jour levé, les éventuelles agressions dont certain patient auraient parler, tout ceci posa un doute de plus en plus accentuer par l'imagination des personnes résidant à la maison de retraite.

Elodie avait écouter l'histoire conter entre les deux individus d'une oreille attentive. C'était comme un bon roman! Pour une fois, elle voulait être le seule narrateur de l'intrigue de cette enquête. Attisé par la curiosité et surtout par un coup de tête, elle décida qu'elle attendrait la nuit tomber pour voir comment les choses se passait à proximité de la résidence des retraités. Sans grandes convictions. Mais peut être que mener sa propre enquête lui permettrait d'écrire son propre roman. Oui elle en était persuadé, il fallait prendre des risques pour être un bon écrivain.
Comme convenu elle attendrait la nuit tomber, en plein jour il n'était pas difficile d'entrer dans l'enceinte de l'établissement, ou du moins dans les jardins – à l'heure actuelle c'est ce qui l'intéressait le plus – mais une fois la nuit tomber, il était plus difficile de passait inaperçu.
Comme elle s'en douter, à l'instant où les visites furent terminer et où le soleil s'était fait absent, les immenses grilles de l'établissement avaient été fermer et cadenasser par sécurité. Mais ce n'était pas cela qui l'empêcherait de passer. Elle avait bien entendu  tester la facilité en essayant de passer de biais entre deux barreaux, mais à moins d'être anorexique, elle n'aurait pas passer. Elle allait devoir opter pour l'escalade. Se sentant un peu comme un paparazzi, elle agrippa les barreaux forgé de ses mains et prit un important appuie sur ses pieds pour réussir à se hisser et à sauter de l'autre côté de la barrière. Forte heureusement pour elle, son agilité de voyeuse lui permit d'atterrir en douceur et l'herbe sous ses pieds atténua le bruit de son arriver à terre. Maintenant qu'elle était parvenu à entrer, son enquête démarrer...

Elle passa quelques heures caché derrière un buisson, les journées avaient beau être chaudes en ses derniers temps, les nuits étaient fraîche et elle regretta d'être venu seulement vêtu d'un gilet court. De plus, les moustiques qui rôdait autour d'elle semblaient se faire de plus en plus nombreux et certain avaient déjà eut l'occasion de déguster le succulent repas que faisait son sang. Un sang peut être refroidit par la température fraiche, un sang qu'ils devaient trouver à leur goût. Un repas pour les moustiques...elle aurait préférer venir avec une bombe d'insecte. Elle avait beau essayer de les éloigner d'un revers de main ce n'était pas ainsi qu'elle parviendrait à toucher quelque chose qu'elle ne voyait même pas. Et en attendant, des petites perles de sang – limite minuscule – pointer sur sa peau blanche comme « une assiette sale » (magnifique comparaison je sait).

Soudain son sens de paparazzi fut alerter lorsqu'elle vit passer sous l'ombre argenté de la lune, une silhouette calme est fixe. Elle sortie la tête de son buisson, apercevant un vieille homme vêtu de noir et d'un chapeau melon. En y regardant de plus prêt, son regard triste et...rouge fixer une fenêtre serti de balconnière sans fleur au dessus de lui. Elodie fut surprise par l'expression de tristesse du vieille homme plus que par sa présence ou par la couleur de ses yeux. Après avoir assimiler l'information, elle sursauta et se releva en un bond agile comparable à celui d'un fauve.

Elodie: Le revenant!

Le vieille homme tourna la tête en sa direction. Elle qui se comparait depuis le début à un paparazzi à la recherche d'information pour la conception d'un roman était loin d'être d'une discrétion comme celle des livres qu'elle lisait. De nouveau il lui fallut un certain temps avant d'assimilé sa découverte. Elle assimila un peu plus lorsqu'elle vit la silhouette fixe de l'homme se détendre et approcher vers elle. Dans un mouvement de panique elle hésita entre avancer ou reculer. Fuir ou allez de l'avant et en apprendre plus? Finalement elle aurait dû fuir...

Ses yeux s'écarquillèrent lorsque les lèvres du vieil homme se décollèrent et affichèrent quatre crocs bien mieux caché qu'elle auparavant. Elle tressaillit et réfléchissant à toute vitesse, abandonna son buisson pour courir aux grilles qu'elle avait escalader plus tôt. Ce n'était pas un revenant non, c'était un vampire. Un homme mort qui avait dû être transformer pour servir une vie éternelle. Un homme qui errait derrière la fenêtre de sa veuve chaque soir en se maudissant de ne pas pouvoir lui dire qu'il était là, si prêt d'elle mais si dangereux. Quiconque l'apercevait lui remuer son instinct de chasseur et se faisait attaquer, sauver peut être, par le peu de conscience qui lui restait. Peut être avait il errait à l'intérieur des couloirs de l'établissement, faisant grincer le parquet avant de se résoudre à ne pas rejoindre sa veuve. Ça y est, Elodie avait percer le mystère de la maison de la retraite, rester à savoir si elle aurait le temps de l'écrire sur papier...

Au moment où ses mains avaient saisit le fer forgé des grilles, celles du vampires lui avait attraper les épaules et l'avait tiré vers lui. Sa soif devait être intense, il n'avait pas prit le temps de regarder sa victimes que ses crocs chercher déjà à en percer sa peau. Par un réflexe presque miraculeux, Elodie avait utiliser sa paume de main pour frapper le nez à l'apparence déjà écrasé du vieillard. Le coups lui fit lâcher prise et ses yeux remplit de larme par le choc nasale trompa sa bonne vue nocturne. Pouvons nous dire que les deux adversaires étaient désormais à arme égales? Dans tout les cas Elodie devait agir vite, s'enfuir serait peine perdu...


Trois jours plus tard la pluie s'était mise à tomber pour rafraîchir les gazons brûlaient par la chaleur et adoucir les températures. Les « jamais content » se plaignaient désormais du mauvais temps qui inonder leur jardin et les empêcher de sortir librement. Elodie n'était toujours pas décidé à prendre l'air, même si les différentes plaintes qu'elle pouvait entendre la faisait doucement rire, elle était aujourd'hui bien trop occuper à ses romans. Romans non pas qu'elle lisait, mais qu'elle écrivait, qu'elle prenait en note tout en confectionnant un succulent repas. Face au plat mijoter le sourire étirant ses lèvres, elle n'élevait la voie que pour demander au vampire de la maison de retraite de lui faire part de ses témoignages. Le soir de son enquête, elle s'en était sorti indemne comme ce vieil homme, ou plutôt nouveau vampire qui lui conter son histoire. Comment tout deux en sont ils arrivaient là? Comment cela c'est il passait? Pourquoi ne pas attendre qu'Elodie ne termine son livre et vous laisse en découvrir l'intrigue?


Note de Prisca: Voilà mon one shot pour le premier event. J'avoue avoir complétement oublier le thème du one shot qui devait être la préparation d'un repas du coup j'ai dû le caser un peu comme ça à l'arrache ^^. Mais me connaissant j'aurait été trop têtu pour essayer de le placer quelque part, peut être que ça me portera préjudice pendant les votes x). En attendant je me suis bien amuser et j'espère que ça plaira à ceux qui le lieront.